Ecrivains Accrotéviens

Je ferme les yeux, le ciel est bleu, sans aucun nuage. Cette douce brise qui m'effleure la peau se dirige vers ces collines, ces collines ou la verdure s'emplit telle une vague couchée sur une terre aride pour la couvrir, pour la cacher car cette terre porte honte par son apparence a mère nature.

Je me lève et je marche sur cette herbe chaude, j'avance mais le paysage s'étend indéfiniment, les yeux fermés, j'erre sur ces pages qui s'étendent devant moi sous cette encre sombre, J'ai ouvert les yeux sans m'en apercevoir.

Je revois un visage en face de moi, un visage qu'une main cache retenant des larmes, ces yeux me regardent, que me veulent t'ils? ses mains approchent, et je m'éloigne. Il sanglote puis disparaît et s'efface, j'ai fermé les yeux, sans m'en apercevoir. Je préfère cela, car cette image disparaît, et le monde se radoucit, le calme me noie et cette musique refait surface, ce chant si doux, si paisible que j'entends chaque fois que je quitte le monde, l'autre monde que je n'aime pas.

Je m'allonge sur ce parquet couvert d'un tapis rouge, et je tombe calmement nageant au milieu du vent, j'aperçois mes limites au large, au loin, pourtant elles se rapprochent et m'y ensevelient.
Je revois cette chambre que je déteste tant et des images me hantent de souvenirs encombrants, je n'entends plus de chant mais seulement des cris, ce visage qui m'implore et je me cache, je me cache sous mes bras, je me tais et m'immobilise, je m'abrite sous des draps qu'elle préfère tant à moi, je me cache car comme la terre qui se cache sous ce vert, je fais honte à ma mère et je ferme les yeux, je m'en vais, je la laisse seule puisqu'elle le préfère et je remonte la pente, me retrouve sur ces terres.
Pourtant aujourd'hui quelque chose a changé, cette terre est sombre. Sous ces décombres, j'essaye de distinguer cette voix paisible, elle a changé.
Ce chant est obscur semblable à des lamentations qui s'allient au flux du vent, et s'étendent sur ces tombes qui m'entourent alignées, je revois mes semblables sous leur toiture, ils se cachent épousant la forme des catacombes et je m'assoie attendant que l'autre monde se calme. Les yeux toujours fermés, je m'apitoie sur mon sort et me noie dans mes pensées de mondes insensés.

Un instrument de musique joue quelque part une douce mélodie. C'est un peu triste, délicat. J'aimerais comprendre ces paroles d'amour, les prendre sur le bout de mes doigts puis les porter à ma bouche. Je sentirais alors leur arôme rose, et si parfumé. Je fermerais les yeux, pour mieux les savourer
. Et puis, il y aurait ce parfum, cette odeur de feu de bois et de pain d'épice qui s'est posé sur ce lieu.
un gâteau nomée ti-biscuit, bienvenue à toi qui parait chancelantes sur les pavés glissantes,
tels des danses, de la musique, des voix qui s'élèveraient dans la nuit au milieu des arcades, des airs envoûtants aux mêmes reflets sableux, tu inodore ce lieu, encore et encore .....

l'ombre du seuil

Elle essuie la dernière larme qui glisse le long de sa joue. Elle sourit au dernier paysage qui s’étend devant elle, elle sourit se disant que tout est fini. elle est sereine…elle a peur…
Elle ferme les yeux, se jurant de ne plus les rouvrir, ses paupières la démangent et son sourire se perd. Il se transforme en grimace, d’autres larmes jaillissent, elle s’était pourtant jurer que se serait la dernière… effrayée, elle ne trouve plus la force de réfléchir. elle n’a qu’une obsession, sauter…
Les larmes l’obligent à rouvrir les yeux, elle regarde le monde comme pour la première fois, tout est flou, elle n'y voit plus rien, et la lumière lui perce les yeux…
Elle se tient au bord, elle ne trouve plus la force, celle qu’elle avait avec la plus grande des convictions, que lui arrivait-il? Qu’est ce qui la torture tant en son esprit? c’est pourtant simple, elle n’aura qu’à se relâcher, elle n’aura qu’à sauter…
Mais que diable fait-elle là-haut, que lui arrivait il? Comment a-t-elle pu être convaincu de vouloir y mettre fin, la honte l’ensevelit de se voir si faible, la honte et le désespoir. Mais elle ne pouvait continuer ainsi? La seule chose qui lui restait à faire était d’y mettre terme, elle s’y était pourtant résigné. Une terrible contradiction se mit à lui torturer l’esprit, son estomac se noua, sa gorge se resserrait, elle devait sauter, elle devait sauter.
Au bas d’elle, une vingtaine de personnes s’était rassemblé, ils lui donnèrent l’impression de n’être que de simples petites fourmis, leurs exclamations seules retentissaient dans l’air taciturne, elle ne semblait pourtant pas entendre, elle ne bougeait plus.
C’était vrai, elle venait se d'en rendre compte, elle ne pouvait plus bouger, pas un bras, ni même un doigt. Elle avait peur, elle était effrayée même.elle venait de s'en rendre compte. Quelqu’un, quelque chose se tenait derrière elle, elle sentait sa présence. Il fallait qu’elle rebrousse chemin, il le fallait. Elle voulait se retourner et se rendre compte que ça n’était qu’un tour de son imagination, seul l’instinct à présent lui dictait ce qu’elle devait faire, elle devait reculer, elle devait se sauver et pourtant, elle ne pouvait plus bouger.
Un cri d’entre les exclamations perça le silence qui l’entourait, une voix qu’elle reconnut et des mots qui ne retentissaient qu’au plus profond de sa tête.
«SAUTE! SAUTE SI TU EN AS LE COURAGE! TU AS ETE LACHE TOUTE TA VIE! TU NE POURRAS JAMAIS LE FAIRE! SAUTES! TU M’ENTENDS! SAUTE!!!
Elle baissa la tête, le visage qu’elle chérissait tant se dessina dans ses pensées, un visage qui la regardait avec défit, les yeux injectés de sang. elle lui sourit et ressentit la chose derrière elle la pousser en avant, elle se laissa nager au milieu des airs. Le temps pour elle ralentit, le sourire ne quittait pas son visage. Se retournant, elle vit une ombre, au visage serein et au sourire accueillant, lui tendre la main. Ça n’était pas pour la rattraper, non. Cela ressemblait plutôt à un signe de bienvenu. Elle lui rendit son sourire. Elle voulait le remercier. Elle se sentait libre et incroyablement légère. Et au fond de son esprit, une terrible culpabilité l’a quittait. Elle la quittait et allait se transmettre à une autre personne, une personne qui admirait le spectacle avec effroi. Le temps pour elle paraissait long, infini. Elle ferma les yeux et ne les rouvrit plus. Elle ne vit jamais la fin de sa chute, elle n’était plus là.
3 secondes 14 millièmes, l’ombre quitta le toit, et alla se glisser derrière l’une des nombreuses personnes qui s’exclamèrent tous en horreur, tous sauf lui. Lui regardait les yeux ébahis la dépouille méconnaissable.
Doucement, il recule, ne sentant plus les jambes qu’ils le portaient. Il se couvre le visage se resserrant sur lui-même, ses entrailles se déchiraient au fond de lui. L’ombre silencieuse le suivait comme accroché à lui, le sourire machiavélique, elle lui écarte les mains du visage. Lui, le faisait inconsciemment, les yeux écarquillés… Et une voix retentissait en echos au plus profond de ses pensées
«Regarde cela mon cher, regarde bien… ça sera bientôt ton tour et tu auras sûrement besoin de moi. Oui, tu en auras sûrement besoin…»

Chapitre1: La malédiction

Par une nuit étoilé,parfumé des roses nocturnes imaginées par mon subconscient en recherche de liberté, j'avais défié le temps, celui qui m'emprisonnait ensuite j'avais fait le vide dans mon esprit et je m'étais laissé aller, tel les écumes sur la vague d'une mer déchainé, mais l'instant de répits fût interrompu par un bruit assourdissant, j'avais aperçu au loin une vive lueur à la clarté foudroyante,mes mains tremblaient et mon corps hérissonnait, je me doutais loin de ce qu'il allait m'arriver.
Une ombre parfaite jaillit d'une lumière aveuglante puis il dis d'un ton grave qu'on en dirait qu'il avait croisé la mort au bout de la rue

l'ombre: [ ô!! toi qui t'es échappé du temps]

Martin: [Comment cela? Qui est tu ? D'où viens tu?]

l'ombre: [Misérable, que la colère de mes ancêtres sois sur toi!]

Et là, c'est comme si j'avais ressentis un poignard entrant lentement en moi, une douleur atroce et inoubliable, j'avais cru mourir, j'avais sentis que tout l'amour que j'avais en moi défilait ,
malheureusement il ne défilait pas mais sortait de mon âme, l'amour envers mes parents, ma famille, mes amis , tous ceux qui m'avais aider auparavant , ma femme, la nature....
je ne savais plus différencier la beauté spirituel et superficiel, mon âme était pratiquement vide et la colère, la haine, la rage , le désespoir et la vengeance surgissèrent d'un seul coup.
J'étais devenu un être maudit, condamné par le temps infini, à la solitude, mon passé s'était effacé

martin:[Que donc tu m'a fais , être ignoble,pourriture..]
les jurons sortait de ma bouche , a l'allure des sifflement d'oiseaux
l'ombre:[ je suis l'être des ombres et je te maudit!!!]
puis il riait betement et disparu.

Je me demandais donc pourquoi , il m'avait maudit , est ce dû parce que j'avais défier le temps, je cherchais en moi si il me restait un grain d'espoir mais rien , peut être que l'amour d'un être pur pouvait m'aider,j'étais parti chez moi, je n'avais vu nulle trace de ma tendre aimé.
Alors j'avais marché avec une soif de rage incontrôlable , j'avais aperçu mon aimé dans les bras d'un autres, cela avait amplifier ma douleur et ma colère, je m'étais rapproché d'elle et m'avait tendu la main et avait cru que j'étais un pauvre, certes j'étais devenu pauvre d'amour, elle m'avait oublié,
un cri effroyable surgissait des ténèbres de mon âme , voulant la tué mais je m'étais mis à courir sans m'arrêter dans la direction de l'oubli

A ce moment j'avais su qu'une part d'humanité me restait encore,
seul au désespoir, face à un destin tracé, le chemin de fer de la solitude sans arrêt, un allé simple dans le wagon de l'enfer, le ciel me parut noir macabre, la terre inexistante, l'eau bouillonnante le soleil et la lune ne fusaient plus qu'un et moi invisible, je ne sentis aucune odeur mise a part celle de l'amertume , tout de même il me restait encore une foie et une vengeance a tout épreuves,
A la recherche du remède que je ne trouverais pas dans les joies de cette vie q ui m'avait laissé tomber mais en la foie d'un être supérieur qui me guidera à la sortie de ce chemin de fer intitulé malédiction.

Regarde maman, ton fils te sourit, entends ma voix, écoutes moi. Regarde maman, mes mains t'épargnent, mes yeux se rouvrent, viens à moi. Maman, quand je te souris, pourquoi tu me regarde comme ça ?

S'il te plait maman, arrête de crier, laisse moi te parler. Arrête maman, lâche-moi, tu me fais mal. Pourquoi tu ne m'écoute pas quand je te parle ? Pourquoi tu ne me regarde pas quand je te souris ? Pourquoi tu me bats maman ?

Regarde maman, ce que ton fils est devenu, vois ! Il cherchait ton sourire, il trouva tes larmes. Maman, pourquoi ton regard a changé, as tu peur de moi ?
Pourquoi tu ne me bats pas maintenant ? Est ce ma lame à ta gorge qui t'en empêche, maman ?

Regarde maman, tu m'avais toujours dit que tu ne pouvais pas m'aimer, tu m'as toujours dis que nous n'avions pas le même sang. Regarde maman, ils se mélangent, tu as toujours essayé en faisant couler le mien mais, regarde maman, j'ai réussi, nos sangs se mélangent maintenant.

Regarde maman, oui tu es ma vraie maman maintenant. Souris-moi, serres moi dans tes bras, aimes moi, écoutes moi maman, regardes moi...
Mais maman, pourquoi tu ne bouges pas ?

Aineko Kuréno était un belle homme qui avait la soixantaine et qui ne vivait qu'avec sa gouvernante dans une petite maison typiquement traditionnel de la ville de Kanazawa dans la campagne japonaise.
Kuréno avait la méme habitude depuis qu'il est tout petit de manger avec les mémes baguettes .Elles étaient longues , d'un beau bois brun , un dragon rouge sang était sculpté dessus , malgré plus de 100 ans d'éxistance , il était intacte .
Kyoko , sa gouvernante , paraissait plus jeune que son age , femme de petite taille , aux court cheveux noir corbeau -sans un seul cheveux blanc - à la peaux blanche comme neige et aux doux yeux gris avait été engagée par Kuréno car elle n'avait plus personne dans sa famille , et rien de quoi vivre . elle_ci s'était beaucoup interrogée sur cette curieuse pratique , et décida , un jour , de lui offrir de nouvelle baguettes , il les axcepta aimablement . et les rangea dans le salon sans jamais les utilisait .
_Monsieur Aineko , pourquoi n'avez vous jamais utilisé les baguettes ue je vous ai offerte ?
_ Excusez-moi si je vous ai blessé Kyoko , mais de toute ma vie je n'ai mangé qu'avec mes baguettes , elles m'ont était offerte par une personne a laquelle je tien vraiment , donc je les garde précieusement comme souvenir de cette personne .
_ je comprends , mais qui était cette personne ? dit-elle inquiéte
_ C'etait ma ....
Il ne pu terminer sa phrase car quelqu'un frappa à la porte , Kyoko alla ouvrir :
_Votre voisin est venu vous voir .
_ Bonjour! s'exclama Kuréno en acceuillant son ami d'un signe , les baguettes en main .
_ Bonjour! Toujours avec ces baguetttes , la personne qui te la donnait devait t'être cher!
_Oh que oui! hélas elle est morte , c'est mon seul souvenir qu'il me reste d'elle ,ainsi que ses douces paroles .
_C'était une femme ?
_Oui, une femme qui me manque beaucoup !
_Une maitresse?
Lorsque Kyoko entendit ses mots , elle èclatta en sanglot et sortit encourant de la piéce.
Aprés que son invité s'éclipsa , Kuréno alla voir sa gouvernante . Il la vit en train de bruler quelque-chose.
_ Mais que faite vous ?
Kyoko sursauta et cacha quelque-chose dériére son dos.
_ Vous m'avez fait peur !
_ Que brulez vous?
_Je... je brule...je brule vos baguettes !
_QUOI??? mais pourquoi?dit-il en essayant de les sauver
_Maintenant elles ne sont plus que cendre... pourquoi?parsequ'elles représententes ma rival, elles vous rappelle cette femme que vous avez avez aimé , elles vous monopolise et vous empêche de voir les autres femmes qu'il y a autour de vous ! Cette femme est mauvaise ,même aprés sa mort , elle veux que vous n'aimez qu'elle , elle ne veux pas que vous soyez heureux avec une autre qu'elle, s'écria t-elle tout en pleurant . Elle me prend l'homme que j'aime ! lacha Kyoko dans un cri de souffrance .
_Mais.. c'était tout se qui me rester de ma defunte mére! Comment aurait elle pu m'interdire d'aimer une femme par amour ?! Dévoila Kuréno


Chute 2 ( en relation avec la premiére chute !)
_ Vo...tre ...m..mére ,bégaya Kyoko , OH mon dieu qu'ai-je fait ? s'exclama-t-elle en mettantses mains devant sa bouche . Je vous ai fait soufrire , et vous ai fait de la peine , a cause de ma vulgaire , maladive et superficiel jalousie! Pardonnez-moi!
Elle prit un katana accroché au muretdit :
_Excusez-moi, j'espers qu'aprés cette acte vous me pardonnerez .
Elle prit un derniére boufé d'air , reteint sa respiration , et s'enfonça le sable dans la poitrine , sans un cri tel un digne samourai