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L'arrestation et la peine Les garçons furent arrêtés et jugés en tant qu'adultes; mais, à cause des procédures japonaises concernant les crimes commis par des mineurs, leurs identités ne furent pas révélées par le tribunal. Cependant, un hebdomadaire "Shukan Bunshun" dévoila leurs vrais noms, prétextant "Les droits de l'Hommes ne sont pas valables pour des brutes." Le vrai nom de Furuta et les détails de sa vie personnelle furent révélés exhaustivement dans les médias. Ogura(Kamisaku) fut jugé en tant que sous leader, du moins selon le tribunal officiel.
Les quatre garçons ont plaidé coupable pour la charge réduite d'avoir "commis des blessures corporelles ayant causé la mort", plutôt qu'un meurtre. Les parents du Miyano vendirent leur maison pour environ 50 millions de yens et payèrent une compensation à la famille de Furuta.
Pour sa participation au crime, Kamisaku fit 8 ans de prison juvénile avant d'être relaché, en août 1999. En juillet 2004, il fut arrêté pour avoir agressé une connaissance, qu'il pensait être en train d'éloigner sa petite-amie de lui, et s'est prétendument vanté de ses anciens crimes. Kamisaku a été condamné à 7 ans de prison pour le passage à tabac.
Les parents de Junko furent consternés par les sentences que les assassins de leur fille reçurent, et engagèrent des poursuites contre les parents du garçon dans la maison desquels les crimes furent commis. Quand quelques unes des condamnations furent renversées compte tenu des preuves physiques problématiques (la semence et les poils pubiens découverts sur le corps ne correspondaient pas à ceux des garçons qui avaient été arrêtés), l'avocat s'occupant des poursuites décida qu'il n'y avait pas de procès à faire et refusa de les représenter plus longtemps. (Il reste un doute que la preuve ait été contaminée -par exemple par l'une des personnes non-identifiées qui ont violé Furuta.)
MédiaL'affaire fit l'objet d'une attention nationale envers les jugements et la réhabilitation des délinquants juvéniles, surtout dans le contexte de jeunes jugés en tant qu'adultes, et fit sensation dans les médias.
Au moins deux livres japonais furent écrits à propos de l'incident.
En 2006, le groupe de Visual Kei japonais the GazettE sortit une chanson sur leur album NIL, appelée Taion/体温 (Température corporelle) ; la chanson est un hommage à la jeune fille.
Sorry,for the ...
R@n-chan^^;