Ecrivains Accrotéviens

Pourquoi?
Je m'allonge, le ciel s'étend devant moi sans fin, l'eau du lac est plus brillante que d'habitude car c'est une nuit de pleine lune, de pleine lune... tu ne trouve pas que c'est ironique ? Peut être que non. De toute façon je n'ai jamais pu percevoir en toi un seul traie de caractère quelconque, c'est bien pour ça que je t'ai détesté toutes ces années... pour ça et aussi parce que l'écho des cris hante toujours mon esprit, les cris et le sang qui couvre mes mains...il les recouvre toujours, le sang ne s'efface pas si facilement, la haine non plus...
Même aujourd'hui, tu me regarde toujours de la même manière, ce regard tendre et innocent. Tu arrive toujours à me sourire, ce sourire qui me glace le sang. Tu me tends toujours ta main, cette main qui autrefois me tuait à feu doux, cette main qui me tue toujours...
Et tu prononce des mots que je ne comprends pas, des mots que je ne veux pas comprendre, des mots que je ne veux pas entendre. Tu me dis ton cœur ange, la rive eau pure, mes mains claires. Pourtant, le lac est rouge depuis longtemps, tes yeux sont noirs depuis bien plus.
Ce bruit me revient, le bruit du cuivre sur la peau, le bruit raclant qui stagne dans ma mémoire. Je ne crois pas que tu t'en souviens, tu as l'habitude de ne garder en tête que ce que tu veux. Mais moi si, je me souviens de ce qui fait ressortir le sang de la chair sans même la blesser. Ce qui brûle si fort puis gèle si longtemps, je n'ai pas oublié. Tu avais le même sourire ce jour là, le même regard attendris et les mains pleines de mon sang.
Pourquoi ? Je voulais comprendre, c'est tout ce que je voulais comprendre. Pourquoi ai-je vécu toute ma vie nageant dans les larmes que tu versais ? Les larmes dans lesquelles tu me faisais noyer. Ma souffrance était la seule chose qui te faisait sourire, tu aimais quand je convulsais de douleurs, tu aimais quand je suffoquais d'horreur... pourquoi ?
Je me demande aussi pourquoi je pleurs...maintenant que tout est fini, pourquoi je me sens plus lourd ? Pourquoi ma tête me fait si mal ? Maintenant que tu n'es plus, qu'est ce qui a changé ? Cette douleur est toujours ancrée en moi, l'eau est bien plus rouge que d'habitude et mes mains...mes mains sont bien plus sales...
Alors, pourquoi ?

chapitre2: l'entrepôt B82

Dans une forêt sauvage où je m'étais abrité contre les officiers de l'ordre qui m'avaient pris pour dingue.
J'avais aperçu au loin dans ce sombre tas d'arbuste, un loup du nord, d'un pelage blanchâtre , au teint de neige, des yeux brillant le clair de lune et des crocs acéré aux pointes d'une beauté stupéfiante, mais pour moi ce n'étais qu'une bête insignifiante a mes yeux, je la traitait de tout les noms , car j'avais été maudit et je ne pouvais aimé un animal , alors que je lui jetais de la caillasse, il fut transformé en un homme ,c'était surprenant , je n'en croyais pas mes yeux mais tout peut arrivé a ce stade.

Le loup: je m'appelle takashi , je suis l'esprit de la forêt, pourquoi donc t'obstine tu a me faire du mal?
Martin: sale chien bâtard! tu ne vois donc pas , je suis maudit et je t'emmer...
Takashi: Je vois! Je comprend maintenant .
Martin: Va t'en!! Avant que je t'éclate ta face ...être de la forêt, mon oeil.
Takashi: Sache que je peut t'aider.
Martin: Que peut tu faire, a part bavard et marcher à quatre pattes, tu n'es qu'un chien!
Takashi: Dis moi, quel être t'a maudit?
Martin: L'espèce de pourriture des ombres.

Alors Takashi prononça des mots, effleurant mon esprit, j'avais sentis un changement bizarre

Takashi: Que ton language renait et que tu puisse apercevoir la beauté tel un art!

Et a cette instant , un petit poid sse souleva; mais il restait quand même la colère, la rage et toute la haine en moi

Martin: Je te remercie infiniment , majestueux être de la foret , dis moi comment se fait il qu'un des rares loup japonais soit ici?
Takashi: Et toi, comment un français d'origine anglaise se trouve à chriaa
en Algérie?
Martin: je me suis échappé des autorités de mon pays
Takashi: je ne dois pas tardé , ravi de t'avoir aidé, le devoir m'appelle
Martin: attend!!!! aide moi, redonne moi tout l'amour que j'avais comme tu l'a fait pour ma vision de la beauté
Takashi: Je ne peut rein faire, mais j'ai entendu parlé d'un entrepôt, l'entrepôt B82, il se trouve en Russie, précisément à Moscou, c'est le lieu de rassemblement des êtres des ombres

Après cette dernière parole, Takashi se transforma en loup et parti à la vitesse d'un éclair ou l'astre même se perd.
J'avais un long chemin à faire pour arrivé a Moscou, j'avais décidé de faire halte à Alger, la capitale d'Algérie , l'un des plus rares pays a avoir instauré l'emprise du monde occulte et des signes japonais , peut être que j'en saurais plus sur l'entrepôt là bas.......

A suivre dans le prochaine acte du chapitre2

Je dois continuer...
J'escalade le mont des fatalités. Le temps, figé, s'écoule...depuis le temps ou je suis là, sur ces rives séchées qui coulent, entre cet air, j'étouffe, je me noie...


Je suis fatigué...
De voir mes pas brunir le sable, mon chemin, tracé, entrouvrir le ciel, mon regard meurtrir l'autour, mes doigts assaillir les pierres...


Las, rien ne change...
Mes ombres demeurent, incessantes. Traquant la bête en moi, elle ne verra jamais le jour, l'esprit clos, je continu sans un pourquoi...
mais vers où ?


A chaque arrêt...
L'espoir demeure, même endormie, il survie...j'aperçois les visages en pleures, qui me regardent sans me voir, qui m'entendent sans m'écouter, qui me touche sans me sentir...


Je reprends la route...
Vers ces chemins damnés, je cherche mon destin. A l'attendre, il ne vient pas... à l'étendre, il ne me sert plus...
comprendre ? je ne le peux plus...


Vers la fin...
Tout recommence, la fin n'est que début, le début n'existe plus, la fin non plus d'ailleurs...
Peu confus, je continu, je me demande si j'existe encore...personne ne le saura...


A jamais...
Ces mots resteront gravé, je resterais toujours là, à longer les portails du temps...d'autres seront qui je suis, ils continueront leurs chemins, insouciants...les mots ne reflètent pas les cris, la rage... je ne le peux d'avantage. Reste les mots, en bribe sur un papier, qu'on grave au subconscient, qui meurent avec l'âme, vous emportent à leurs grès, scellé est le sort de celui qui ose profaner le destin ainsi écrit, mes mots en sont la preuve...ma folie aussi.

PROLOGUE :

Dans la région de Bikâa vit un jeune homme de 27 ans, un brun aux yeux noirs, les cheveux aussi noirs et ternes que du charbon, d’une taille moyenne, habillé d’une façon extraverti, et cette personne n’est d’autre que le professeur qui a créé la nouvelle version du Pokédex.

CHAPITRE I : Le Commencement

- Je n’ai vraiment rien à faire de ça m’man !
- Tu ne partiras jamais à l’aventure si ça continu comme ça !!
- Mais...
- Mais quoi ? Écoute-moi bien, tu crois que je faisais parti du conseil des quatre pour rien ?
- Je pense que non.
- Alors c’est d’accord tu pars voir le professeur "Saïd" ?
- Oui, j’y vais. Répondit le jeune garçon lassé.
- Continue de préparer tes affaires, tu as de la route à faire.

Voilà notre garçon prêt à quitter la maison pour de superbes aventure (du moins, c’étais ce que pensais le garçon).

A son arrivée chez le professeur Saïd, il aperçu ce dernier au loin et cria : « Saïd ! Je suis là »
- Ah ! Te voilà enfin, Je suis désolé mais tu arrive en retard. Il dit ça tout en s’approchant du jeune "Yasser".
- En retard ?!
- Tu ne le savais pas ? Il lui demanda, tout en continuant de s’approcher de lui.
- Savoir quoi ?! Demanda Yasser - de plus en plus étonné.
- Il n’y a pas que toi qui veux devenir dresseur Pokémon. Dit le professeur arrivé alors en face de lui.
- Bah oui c’est évident...
- J’ai donné tous les Pokémons que la fédération m’a fournit.
- Merde ! Répliqua Yasser.
- Mais ne t’inquiète pas... J’ai un Pokémon en réserve que je te donnerais volontiers ; mais à une seule condition, il ne...
- J’accepte. Dit vivement le jeune garçon tout en coupant la parole à Saïd.
- Toujours aussi impulsif à ce que je vois... Bon, suis-moi.

C’est sur cette dernière phrase que les deux rentrèrent à la maison, en direction du laboratoire.

- Ne somme arrivé au Labo. Dit le professeur. Je suppose que tu l’as déjà visité...
- Eue. Oui. Répondu le garçon. Mais j’étais très jeune.

Quand la porte en acier du laboratoire était ouverte, on pouvait voir pleins d’appareils en tout genre, des plus petits gadgets jusqu’aux machines Hi Tech, dont il était de plus en moins difficile d’en deviner l’utilité, mais ce qui était plus facile à deviner était le fait que ce labo représenterait le paradis pour n’importe quel chercheur Pokémon digne de ce nom.

C’est alors qu’au milieu de tout ce fatras, le professeur ouvrit le gros tiroir d’une étrange commode en acier et en tira tout ce dont j’avais besoin, c’est-à-dire, des Pokéball, le Pokédex et le Pokétech (Une sorte de téléphone mobile) dont il me montra le fonctionnement. Ensuite il m’a montré mon Pokémon que j’ai trouvé très mignon, l’a remis dans sa Pokéball étrangement coloré en deux moitiés, jaune et bleu (contrairement aux autres qu’il m’avait donné qui étaient en rouge et blanc) et m’a demander de bien m’occuper de lui. On a un peu discuté par la suite, il m’a donné quelques et pour finir il m’a souhaité bon voyage et je suis parti.

CHAPITRE II : Première Escale

Après une longue et rude journée, notre garçon arrivé à la première ville que lui avait indiqué son Pokénavé - la petite ville provinciale de Rommane – il s’est mis à chercher un Centre Pokémon pour passer y la nuit, fort heureusement pour lui, il n’a pas eu à trop cherché puisque le centre se trouvait à 100 mètres seulement de l’entrée principale de la ville.

- Bonsoir Mademoiselle ! Dit Yasser en baissant légèrement le regard.
- Bonsoir, répondit la jolie réceptionniste. Je suppose que vous vouliez passer la nuit dans notre centre Pokémon ?
- Oui, une petite chambre si possible. Dit hâtivement Yasser.

Après quelques formalités et un petit passage dans l’infirmerie, Yasser monta à sa chambre. Puis une fois installé dans la chambre, il appela son Pokémon qui se nomme Evoli et parla avec lui comme si c’était un être humain : « Putain, Evoli, tu étais en piteux état, heureusement qu’il y avait cette infirmière qui connaissait bien ma mère, elle s’est bien occupée de nous, demain je te ferais monter de 5 niveaux, demain sera une journée chargé. »

- Si j’étais toi, je ne ferais pas ça. Lui dit un étrange jeune homme
- T’es qui toi pour t’meler de ce qui te regarde pas.

Le jeune homme contrarié lui aussi ne lui répondit dit pas, et tout en murmurant calmement : « Les gamins de nos jours... ». Il se leva et sortit de la chambre. Yasser n’ayant pas bien entendu ce qu’il avait dit, préféra se taire lui aussi, prépara par la suite son lit, et bricola avec des draps un petit matelas sur lequel allait dormir Evoli - alors complètement fatigué, il a par la ensuite enfilé son pyjama et a dormit à poings fermés.

Ayant passé une agréable nuit Yasser se leva très tôt, tourna un peu en rond, ouvrit la fenêtre, alla se laver le visage, et ce n’est alors qu’en revenant de la salle de bain qu’il remarqua l’absence de Evoli et de l’étranger. Inquiété et intrigué, il descendit à toute hâte sans même penser à se changer. Arrivé au hall principal il rencontre l’amie de sa mère.

- Souâad ! Mon Evoli !! Il lui demanda, affolé. Vous n’auriez pas vu mon Evoli en compagnie d’un jeune... Un jeune homme d’environs la vingtaine.
- Le jeune homme dont tu parles nous l’a ramené avec une brûlante fièvre, mais tu n’as pas à t’inquiéter...
- Merde, Il est ou ?
- La dernière porte au fond du coul... Et c’est sans la laisser finir sa phrase que Yasser se précipita vers la direction indiquée.

Arrivant à la salle de soins N°20, la dernière, Yasser se précipita à l’intérieure la salle sans frapper et hurla : « Evoli ! ».

- Du calme, il n’a rien. Lui dit calmement le jeune homme.
- Comment ça ?! Il n’a rien...
- Il a raison. Lui répondit le médecin qui se tenait juste devant le jeune homme.
- Merci beaucoup docteur. Lui répondit Yasser après un quelques secondes de silence.
- De rien, mais tu devrais le remercier lui aussi. Lui dit le docteur tout en le suivant des yeux pendant qu’il s’approchait de son pauvre Pokémon, puis ajouta : « En plus, comme tu lui semblais fatigué, il a tenu à ce qu’on ne te réveille pas. »
- Hé ben !
- Ce n’est pas la peine de me remercier, c’était le minimum.
- Euh ! Mais non, merci beaucoup et désolé de t’avoir manqué de respect hier.
- Ce n’est rien.

Ayant presque oublié son Pokémon, il se retourna vivement vers lui, et resta à le regarder tout en constatant ce que la fatigue a fait d’Evoli, et tout pensant à la bêtise qu’il a commis il dit : « je n’aurais jamais du te forcer, tu aurait pu refuser de combattre quand tu étais fatigué... »

- En général, les Pokémon sont très fidèles à leurs maîtres, quoi que la fidélité qui dépend du caractère du Poékmon mais aussi de la race du Pokémon lui-même. Peut donner des Pokémons complètement incontrôlables. Lui dit posément le médecin.
- Ce qu’elle veut dire, c’est qu’il ne faut pas choisir un Pokémon juste pour sa puissance, à quoi bon avoir un puissant Pokémon si on ne peut même pas le contrôler.
- En tout cas, tu as ici un bon compagnon. Ajouta Le médecin.
- Merci. Répondit Yasser, ne savant trop quoi dire.
- Bon ! Moi, je dois partir, j’ai beaucoup de choses à régler.
- Je peux te demander ton nom ? Lui demanda Yasser.
- Tallal.
- Moi c’est Yasser.
- Enchanté et adieu. Il dit ça tout en quittant la salle.

Après quelques minutes du Départ de Tallal, le médecin voyant le jeune garçon plus rassuré, elle lui demanda de laisser Evoli seul pour la journée, histoire de se reposer un peu. Ce dernier n’ayant le choix, il retourna vers sa chambre, rangea quelques affaires, s’habilla rapidement et jeta un coup d’œil vers l’horloge suspendue au mur, qui affichait alors neuf heures trente minutes, Il sortit par la suite de la chambre pour aller faire ses courses qu’il avait prévu.

CHAPITRE III : Le centre ville de Roummane et son Centre Commercial

La ville de Roumman n’est pas ce qu’on pourrait appeler une mégapole, mais elle reste assez grande pour qu’on s’y perde. En mettant à part son centre commerciale et le bâtiment de l’entreprise Pockets Company, la plupart des bâtiments et des immeubles étaient vieux mais avaient par contre un belle architecture, d’ailleurs même moi - qui d’habitude je me fous pas mal de ces détails qu’il n’y a que les adultes qui remarquent - j’ai bien aimé le style général de la ville, en plus je sentais qu’il faisait bon vivre dans cette province. En même temps que je faisais mes observations, je ne sais pour quelle raison, je voulais rencontrer à nouveau ce mystérieux Tallal.

Après avoir demandé ma route à un sympathique vendeur de barbe à papa qui me montra du doigt l’énorme bâtiment du centre commercial que j’avais perdu de vu quand je me faisais toutes ces réflexions. Arrivé sur place, je rentre et je demande à une des nombreuses réceptionnistes où se trouve le rayon pour Pokémons, et elle - tout en sourire - m’indique l’ascenseur ainsi que l’étage à choisir. Je ramasse alors un panier parmi d’autres paniers superposés, ensuite je prends mon ascenseur, j’arrive à mon étage (Le dernier étage) et sans trop perdre de temps à regarder les différents accessoires pour Pokémons et les différents trucs de Pokémons (Peluches, Cartables et Bracelets, ainsi que d’autres machins), je prends tout ce qu’il faut comme potions, antidotes, anti-paralysants...etc, et je décide ensuite de descendre par les escaliers histoire de voir ce qui se vends dans les autres étages. Au troisième étage, je me retrouve face à pleins d’appareils d’électroménagers et de matériel informatique, je descends ensuite au deuxième où je remarque plusieurs rayons de vêtements, je reprends alors les escaliers et j’arrive au premier étage, qui lui est une sorte de supermarché où j’ai pris un peu d’eau, quelques gâteaux et divers produits nettoyants. Retourné ensuite au rez-de-chaussée je fais la queue, je paye ce que j’ai dans panier, et je retourne aussitôt au Centre Pokémon.

C'est une Histoire qui ne devrait pas être raconter, ni même vécue, hélas elle l'a été, c'est triste d'être témoin d'une tel injustice, sans avoir le courage d'apporter son aide, apporter une aide si attendu, si espérée par une petite fille toute mignonne et si fragile de part son age, mais pas seulement, c'est surtout ses sentiments qui le sont, mais qui malgré tout grandie dans une atmosphère assez hostile, qu'importe ou elle se tourne, ou elle regarde, elle ne trouve ni soutient ni compréhension, bien sur il y a sa mère, mais la pauvre, elle aussi n'a pas été gâter par le vie, elle soufre aussi par son lot de problèmes familiaux.

Mais c'est quand même fou de constater, comme les gens sont froid et austère a l'égard de gens qui sont déjà mis a l'écart de la société, ils trouvent un malin plaisir a en rajouter une couche.
Cette petite et innocente gamine de 6 ans, on la rejette inlassablement sans lui laisser l'opportunité de s'exprimer, sa famille... l'ignorent, comme ça a l'air facile d'ignorer quelqu'un , mais c'est une petite fille courageuse, intelligente et si douce, ils ne l'ont pas laisser témoigner sa sensibilité et sa douceur innée.

A l'école c'est encore pire, elle ne connais personne elle n'a pas d'amis, des enfants qu'elle n'a jamais vu la persécutent sans cesse, a chaque sortie d'école, ils l'a bousculent juste pour la voir tomber, et un éclat de rire s'ensuit, tout ça, par ce qu'a leurs yeux : "elle n'est pas normale" mais n'empêche, elle reste tout de même une adorable petite fille, je suis témoin de cela mais je reste la incapable de faire un geste pour elle, je reste la, a la regarder se relever et essuyer le sang qui coule de ses genoux, je ne peut détacher mon regard d'elle, comme hypnotiser par elle....elle dégage quelque chose de diffèrent, je reste la, bêtement, elle s'avance reprenant son chemin vers chez elle, elle avance, sans jamais relever les yeux, elle s'approche de moi, et la elle regarde vers moi, je suis pétrifier d'étonnement, elle me regarde et me reconnait je crois... que vois-je...elle me sourie, un sourie merveilleux.
Oui elle sourie d'un rien, des blagues qu'elles entant par hasard, quand elle passe par ces camarades de classe dans la cour de l'école, quand ils l'a remarquent ils la chasse, elle est encore et toujours rejeter, elle s'enfuit pour ne pas montrer ses larmes mais la pauvre elle ne comprend pas la raison de leur méchanceté gratuite, et elle passe le quart d'heure de recrée cacher dans les toilettes et elle pleure, mais retrouve sa joie de vivre quand la cloche sonne annonçant le retour aux classes, c'est ironique de voir comme elle adore l'école et ce qu'elle adore surtout c'est apprendre, elle a une soif d'apprendre, elle est curieuse et si attentive quand sa maitresse donne le cour; sa maitresse est une jeune et jolie demoiselle fraichement sortie de l'université et qui occupe la son premier poste, notre petite Kenza l'admire tellement, elle rêve de lui ressembler un jour, d'être si respecter et adorer par ses élèves, car oui curieusement et malgré son jeune age, elle enseigne très bien , et les enfants l'adorent, Kenza apprend très vite, et fait de son mieux chaque jour que dieu fait pour vaincre ces peurs, pour vaincre sa timidité étouffante, et enfin se faire accepter parmi tous.

Pour elle ce qu'il lui restait a faire, c'est d'arriver a être classer première de sa classe, ca lui a été presque facile de faire ça, parce qu'elle comprenait les leçons, tout naturellement et sans se forcer, elle adorait apprendre, et voila que son souhait se réalise ; elle a finit par avoir de bonnes notes et fut logiquement classer première de sa classe, et la... on a commencer a la remarquer.

Elle était aux anges, quand sa maitresse la félicitait et la citait en exemple devant ces camarade, et lui disait qu'elle été fier d'elle, c'était une timide la petite Kenza, et elle rougissait pour un rien alors imaginer sa réaction a ce moment, elle en tremblait, elle éclata en pleures ses larmes n'en finissait pas de couler, sa maitresse ne comprenait pas, elle s'accroupit pour lui parler, et Kenza se jeta dans ses bras, la petite été en sanglot, la maitresse toute étonner ! ne comprenait pas, et elle se rendit compte que la petite Kenza sanglotait et tremblait, elle avait déjà remarquer que personne ne lui parler, mais elle se disait que c'était peu être due sa timidité, mais en la voyant dans cet état elle réalisa, que la petite souffrait intérieurement de ça, mais qu'elle ne laisser rein paraitre, elle cachait toujours sa souffrance derrière son magnifique sourie.