Ecrivains Accrotéviens

Merveille ascocié à la beauté de la nature créer par l'unique dieu au monde, se trouve une île
entourée de terre, je ne citerai point son nom mais sa richesse à travers mon parcours.
Une fois lorsque je fus arrivé sur cette île, La première chose que j'ai vu, était la beauté et
la finesse des chemins façonnés par la pluie, C'était un jour nuageux, au loin on apercevais
des champs d'orangé seuilli de millié de bouton d'or, mon visage était emerveillé mais mon humeur
se dégradais a la vue de colline déserte au loin souillé par la construction de l'homme
Ah! l''homme, une créature faite à la perfection, mais le parfait ne peut duré dans ce bas monde
j'empruntais la route des figuier à bord d'une caleche à 5 cheveaux , je m'arrêta à la ferme
stupéfait de la quantité de cheveaux sur le chemin, à coté on pouvais distingué des silhouette
de semi-hommes qui marchaient sur de grande échasses, Le brouillard s'était dissipé , ce n'était
que des femmes " des femmes hors du commun, des femmes religieuses, des femmes du droit chemin"
disait l'un des passants, J'avais étudié, l'art, la philosophie, l'histoire et la science et
je ne comprenais toujours pas, pourquoi donc, ces femmes a l'apparence faible, dominaient elles
les hommes sur cette île.
Je repris le chemin, j'étais sous le choc lorsque j'aperçu , une géante colombe d'une couleur
que je ne pouvais définir, un mélange de blanc et de bronze. Elle resta là a guetté les hommes
et les semi-hommes puis elle leur tourna le dos de ses plumes, certainement que pour cette oiseau
le mot égalité avait un sens, c'est pour ça que je l'avais batisé liberté.

Sur cette île isolé du monde , la liberté était inexistante, je m'arrêtais et tombais sur mes pied
tel un puma du haut d'une falaise, je marchais continuellement dans la direction d'un bruit
un son méconaissable à mes yeux tout en baissant les yeux de peur des semi-hommes commme la plupart
des gens , Il y'avait un marché couvert où on y vendais de tout,beaucoup de rare objets provenant de
chine, Il y'avais des semi hommes à chaque pavé et chaussé , des plus jeunes aux plus vieux
des plus redoutables aux innofenscifs,.. pas à pas , je me rapprochais de ce bruit
A mon arrivé , j'avais rit, ce n'étais que des jeuns hommes et des jeunes femmes, dans ce lieu qu'on
appelais université , Ils étais tous égaux mais très differents les uns des autres.
C'était un lieu de lecture, de travail, de savoir mais ce que je ne comprenais, pourquoi
donc autant de vacarnes, ils était eux aussi dominé par les hommes et leurs règles, tout un système.

Conçu pour façonné un être en esclave, Des esclaves de la vie, pour gaché la belle terre, peu de gens
connaissaissait la vérité absolue, et la célèbre loi de l'échange équivalent.
Je pleurais tout mon corps en essayant de les avertir du danger . j'avais beau crié que ce bas monde qui
était cett île , n'étais qu'une miniscule terre mais ils croyaient toujours haut et fort qu'ils vivaient
dans un grand et vaste monde et il proclamaient qu'ils étaient libre mais ils ne savaient pas qu'un monde
ancien, étais parmi eux où le mot liberté était sa clé, elle était accessible, caché dans nos coeurs,
mais seul quelqu'un d'honnête et de lucide qui pouvait atteindre et
realisé tout ses rêves pouvais au moins l'effleuré.

[/spoiler Seul à l'abri des regards. là ou le silence lui dicte la vérité. lui murmurant qu'il est seul, que nul ne l'entends, nul ne le comprends, nul ne l'aime, que plus rien ne le retient sur cette vie,non, plus rien... La terre continuera de tourner, le soleil continuera de se lever, les saisons continueront à se succeder, des plantes continueront à croitre, mais lui il n'arrivera jamais à suivre. Il restera toujours figé dans le temps, dans l'éspace.
"donnez-moi une raison, supplia-t-il, donnez-moi une raison à laquelle je pourrais croire."
Et à ce moment là qu'il la rencontre...ELLE... elle n'était pas belle mais attirante. Elle était d'une répugnace insoutenable, mais restait attirante. elle était dangereuse, ce qui la rendait beaucoup plus attirante. Elle a attiré plus d'un tel un aimant. il la voyait tel un miracle, la solution à ses problèmes, un réconfort à son chagrin, un comble à son vide, peut-être meme la raison de vivre qu'il cherchait déséspément. Elle était là, devant lui, plus rien ne le retient. il restait pourtant qu'une seule chose pour que cela devienne officiel. .. un baiser... un seul baiser et sa vie sera basculé à jamais. un seul satané baiser et il se trensformera EN PRINCE. il hésitaun instant, car il a entendu des rumeurs... "eloigne-toi d'elle, elle est mauvaise" "attention elle te tuera"... " elle est maudite, tu le sera toi aussi".
Voyant le doute dans son regard, elle le rassura:" je serai toujours là à tes cotés... jusqu'à la fin...je suis la seul qui te comprends...
Il ne réfléchit pas aux mauvaises conséquence qu'il connaissait si bien, pensant seulement aux mérites qu'il pouvait en tirer.: " avec elle je serais enfin un homme dans les regard des autres, les gens m'accepteront grâce à elle, oui, je serais enfin quelqu'un". il se décida. il l'embrassa amoureusement. désormais, Elle et lui ne formait plus qu'un. plus rien ne pouvait les séparer...
Et c'est ainsi qu'il devint un fumeur follement amoureux de sa cigarette. ][spoiler]