Voici Une News (c'est le but du Topic
)
Le vote des étrangers pour départager Kan et Ozawa pour déterminer le nouveau président du parti et, le prochain Premier ministre.Le Parti démocrate du Japon a autoriser les étrangers a participer aux élections internes du parti. Celle du 14 septembre pour déterminer le nouveau président du parti et, le prochain Premier ministre. Pour la première fois, des non-Japonais pourront participer à l'élection du chef du gouvernement.
La constitution stipule que le président du parti au pouvoir devient automatiquement Premier ministre du pays.
J'ouvre une petite parenthèse pour dire ceci : c'est pas Toi petit citoyen Algérien, ou d'une autre Nationalité qui lira un jour cette info, Non c'est pas toi qui pourra voté par ce qu'il y a deux Conditions très très importante pour pouvoir le faire, vous le savoir lisez la suite
(je les ai souligner pour vous)
Aucun des deux millions de
résidents étrangers enregistrés au Japon par le Bureau de l'immigration n'a le droit de vote. Mais le Parti démocrate du Japon au pouvoir autorise les non-Japonais membres à choisir le président du parti, alors que l'élection du 14 septembre déterminera le nom du prochain Premier ministre.
Naoto Kan, actuel Premier ministre et président du PDJ, est opposé à Ichiro Ozawa, ancien secrétaire du parti, considéré comme le shogun de l'ombre pour son influence au sein du gouvernement.
Seuls les membres et supporteurs du parti peuvent participer à cette élection et le PDJ est le premier parti accédant au pouvoir à accepter les étrangers en son sein.
« 2000 yens par an pour devenir supporteur, c'est tout ce que ça coûte », annonce Alex Martin dans un édito du Japan Times. Être membre coûte 6000 yens.
Donc 18 ou 55 euros suffisent donc à tout majeur Japonais ou étranger résidant au Japon pour participer à l'élection du prochain chef du gouvernement. (c'est ce qu'il fallait mettre comme Titre, vous ne croyez pas )
Mais cet argent est mal vu par certains. « La loi de contrôle des fonds politiques interdit toute donation aux partis politiques provenant d'étrangers et d'organisations étrangères. Elle a été établie pour que la politique japonaise ne soit pas affectée par d'autres pays », explique au journal Yomiuri le professeur Makoto Oishi.
Le spécialiste de la loi et de la constitution à l'Université de Kyoto poursuit : « On ne peut pas nier que le système d'élection de la présidence du PDJ viole l'esprit de cette loi. Le parti devrait s'expliquer clairement sur cette question ».
Le droit de vote des étrangers en suspend, en débat depuis plusieurs années dans le pays, le vote des étrangers pour les élections locales ou nationales n'est par ailleurs pas autorisé. Le PDJ, sous l'ère Hatoyama-Ozawa, se prononçait en faveur du vote des étrangers, tout comme le New Komeito et les partis communiste et social-démocrate du Japon.
Le Parti libéral-démocrate, au pouvoir avant septembre 2009, y été en revanche farouchement opposé, comme les autres coalitions de droite : le Nouveau parti du peuple, le Parti Soleil-levant.
Durant les dernières élections sénatoriales de juillet, tous avaient clairement mentionné leur opinion sur le sujet, excepté le Parti démocrate de Naoto Kan. La coalition formée pour les élections avec le Nouveau parti du peuple et d'autres formations locales le plaçait dans une situation délicate.
« Bien qu'il n'y ait pas de changement dans la position du parti, il y a des opinions différentes que les parties doivent discuter », déclarait alors le Premier ministre au journal Asahi.
Mais d'une façon générale, depuis la démission de Yukio Hatoyama et d'Ichiro Ozawa en mai, les discussions sur le vote des étrangers sont retombées.
Certains habitants issus de plus de trois ou quatre générations d'immigrés, en particulier coréens et chinois, sont donc toujours considérés comme des citoyens de seconde zone, alors qu'ils ont toujours vécu au Japon.
En attendant une modification de la législation, les quelques étrangers membres du Parti démocrate du Japon pourront voter pour le nouveau président du parti et donc le nouveau Premier ministre. Bien que le PDJ n'informe pas sur le nombre d'étrangers inscrits, (celui-ci doit être infime)
« Considérant le fait que le président du parti au pouvoir devient Premier ministre, je peux comprendre le débat sur le système du parti, analyse le professeur Koichi Nakano de l'université Sophia pour le Japan Times. Mais je pense qu'il est très peu probable que les étrangers aient un impact sur la politique nationale ».
De plus, le vote des simples membres et supporteurs ne représente qu'un quart du scrutin. Les voix des élus PDJ de la diète et des gouvernements locaux ont bien plus d'importance.