[Resultat]Concours poésie 2ème manche

sur sa vie trébuche le malheur
qui accompagne ce mal intérieur
ne pouvant rien pour l'arrêter
elle ne fait que regretter le passé
car a ce moment la elle ne savait trop ce qu’elle faisait
ne pensant qu'a s'amuser

Aujourd’hui
elle se sent sale
de la mort elle espère
de la vie elle désespère

elle crie,personne ne l'entend
elle pleur,personne ne la voit
elle a peur,personne ne la rassure
elle veut mourir,baisser les armes
car nul ne la retient à la vie
sans famille,sans amis
bondonnée dans l'obscurité de la nuit

quand elle marche dans la rue
les gens s'éloigne
leur regard sur elle
leur paroles loin d'elle
ils lui en-veulent
d'avoir accroché sa réalité à la leurs

elle veut mourir
quitté ce monde de douleur
ce mal la détruit
sans l'achever
elle souffre
elle a mal
seul dans une pièce
dénudée de rêves,d'espoir et de présence
elle désire retrouver ce soleil
qui autrefois lui redonna le sourire
qui lui envoyait des lueurs de joie
dans la noirceur de sa vie

dans une glace,elle n'ose plus se regarder
elle a honte
une nuit a changé sa vie
elle lui a fait confiance
mais il l’a trahi.

Entre ombre et lumière
Ton visage se perd
Entre joies et pleurs
Ton sourire nous perd
Qui vois tu dans le miroir ?
Que devons nous croire ?

La fantaisie hystérique
d'une vie mélancolique
où le paraitre physique
est la référence biblique
où les rêves d'enfants
s'abandonnent bien rapidement
où l'exigence obsessionnelle
de la perfection est reine

Cette folie maladive
d'une société égoïste
où aucune âme ne survive
sans sacrifices ni peines


Cette vie collective
épreuve de soliste
où aucune flamme vive
de bonheur sans haine

Derrière chacun de tes sourires
ton coeur saigne
pour qu'a chaque goutte que tu verses
un espoir s'éteigne


Alors que tous nous fassions
front contre l'affront
et que le bonheur d'antemps
revienne en avant

Un matin ensoleillé
M’a donné une petite idée
D’aller me promener
Dans mon jardin secret

Je me suis allongé
Sur l’herbe fraiche qui m’entourer
En écoutant les oiseaux chantonner
Un instant j’ai pu rêver

Je me vis en train de gambader
De m’amuser comme un enfant
De me promener, de me balader
Qui me faisait oublier tous mes tourments

Je me prélassais sous le soleil couchant
Qui faisait de l’air, un air charmant
Les nuages au loin se coloraient
Dans un ciel joliment fardé

Sourire aurait dit l’aveugle
Larmes répondit l’espiègle
Le reflet du cœur en Crystal
Torrent de pleures infernal
Humeur noire fatale
Caché d’un sourire jovial
Tel une fleure vernale
Dans les terres boréales
Epanouie mais glaciale
Fracture de l’âme
Fissures au cœur
Frissons de nuit
Harcèlement des traqueurs
Ces rêves super moqueurs
Lorsque l’horreur est réalité
Le bonheur n’est qu’illusion
Réveillée par la rage
Petites rides à la fleur de l’âge
A quoi bon se cacher derrière un sourire sur le visage ?
L’agneau se fait loup
Et fini seul mourant morose
Alors que le diable se prit pour sein
Et déambule au royaume des cieux….

Accablée et soumise par les vents
Je scrute l'horizon des dérisions,
Je meurs de faim à en chialer
Et je vois mes chaudes larmes
Écraser mon coeur de verre comme des lames.

L'air me ramène l'odeur du soufre,
Et les rumeurs des murmures et des discours.
Sans envie alors, j'écoute, j'applique
Et je me sers un peu d'absinthe
Que je déguste amerement comme une hypocrite

Ivre, ces quelques mots je prononce:
J'ôterais l'auréole qui plait tant aux voix
Les voix qui disent bas, "soit comme on veut"
J'ôterais le sourire qui colle à ma peau
Le sourire d'une conne qui vit comme elle peut