writer of death Combattant de l'Empire
Nombre de messages : 244 Age : 30 Date d'inscription : 18/03/2008
| Sujet: Yooo~~~ Votre maitre absolue es la!!! Mer 1 Sep - 6:18 | |
| Zentlemen z'lady, prêparez vous, pauvres âme déchus, préparez vous a vivre un moment extraordinnaire, petites larves que vous êtes, vous allez enfin devenir homme et femme. Mon écrit, est un chef-d'oeuvre en toute modestie biensure, c'est de loin le meilleure écrit de tout les temps, cela va marquer un tournant dans votre vie, préparez vous!!! [Mode craneure : Off] Bien le bonjour, je souhaiterais vous faire part de mon écrit, c'est une nouvelle comme une autre, je serais extremement ravis de savoir que cette lecture vous aura procurer ne serai-ce qu'un tout petit plaisir, infime. Cela me rendrait vraiment heureux, merci de bien vouloir accepter ceci ^^ Aller place a l'écrit : - Spoiler:
Le bien et le mal, la lumière et l'obscurité, la vie et la mort. Cette dualité a toujours eu lieu, et l'un ne peut exister sans l'autre. Vois-tu mon fils, nous somme l'obscurité, le mal, la mort. Nous somme hais et maudit par tous, et nous somme fuis et redouté comme la peste, par les dieux comme par les hommes...et pourtant, sans nous, il n y aurait pas la vie, il n y aurait pas de lumière et encore moins des hommes de bien, ni le bien lui-même. Mon fils, n'oublie jamais ceci, nous faisons en sorte que l'équilibre de l'univers perdurent, sans nous, l'équilibre du monde serais rompue. Nous somme l'ombre qui fait que la lumière existe. Je ne te demande pas de comprendre ce que je te dis, tu es bien trop jeune pour cela, mais, n'oublie jamais ce que je viens de te dire, et souviens-toi, sans nous, l'existence n'aurais pas lieu d'être.
Dans un nuage de fumée noir apparait un homme portant une longue robe noir, déchiré au niveau des pieds, mais de façon anormale, tenant fermement par les épaules, juste devant lui, un enfant habiller d'une veste noire a cagoule. Sous la quel réside un T-shirt blanc. Un jin noir munie de trois chaines au niveau de la taille. Des bottes noires avec quelque tache rouge autour de la semelle. Les cheveux mi-long et ébouriffé, noir corbeau, et ces yeux sans reflet ni pupille étais également noir. Plus noir que la profonde des abysses. Une bouche sèche était cousue sur une peau terne, plus pâle et plus froide que la face de la pleine lune. Le jeune garçon semblait mort.
L'homme lâcha l'enfant, et le poussa légèrement, doucement et tendrement, en lui faisant signe d y aller, et lui murmura : "Amuse-toi bien, et n'oublie pas qui tu es." Après le départ de l'homme, le temps repris sont cours normal, car a son arrivé, le temps c'était figé. Les gens stagnèrent, les nuages ne bougèrent plus et toute forme de vie était désormais comme glacées. Le jeune homme laissa échapper un soupire et s'en alla, a son premier pas, il s'arrêta. Le temps c'était figé de nouveau, et pourtant, l'homme en noir n’était pas présent. Le jeune homme se retourna, en face de lui un autre jeune garçon, ayant le même âge que lui. Celui-ci était tout le contraire de son opposant, les cheveux mi-long blond et soyeux, les yeux bleu, d'un éclat et d'une beauté sans pareil, la peau vivante et débordante de lumière et de bonté, les lèvres pulpeuses, on aurait cru voir un ange. Ces habits étais tout aussi beau et tout aussi chaste que lui, il portais un pantalon court blanc qui s'achevait au niveau des genou, un tout petit peu plus large et plus gonflé que la normale, au niveau des jambes. Un symbole d'éclair jeune était brodé sur la jambe gauche de l'habit, des bouts de tissu blanc pendant derrière le vêtement du jeune homme, ils étaient quatre en tout solide et épais. Dominer par un haut aux manches longs noir, parcourue par quatre épines blanches sphérique partant de l'épaule droite jusqu'à la poitrine, l'épine de l'extrême gauche étais entre coupé au niveau du bras. Le col étais plus ou moins carré et légèrement incliné sur les cotées.
Les manches camouflaient la moitié de ces mains, jusqu'au début des doigts, plus précisément. Derrière lui apparurent deux autres jeune gens, une fille et un garçon. Le garçon avait les cheveux bleus orné d'un bandeau blanc ornée de trois cercles bleu clair entre mêler et de tailles différentes. Le bandeau séparais ces cheveux en deux partie, celle du bas descendait sur ces yeux et les dissimulait quelque peu, celle du haut étais en pétard. La jeune fille par contre avais de longs cheveux en cascade, noir tout comme les cheveux du garçon, avec l'homme en robe noir. Et de la même intensité, la peau presque aussi pâle que la sienne, ces deux ressemblances flagrantes attirèrent l'attention du jeune homme. Il détacha son regard du garçon blond et fixa avec stupeur la jeune fille. Les deux autres s'interposèrent et engagèrent la discutions :
- Que regardes-tu comme ça ?
- Tu m'envoie désolé mais je ne puis répondre a ta requête, car vois-tu, je n'obéis qu'a moi.
- Comment oses-tu! Tu souhaite tant que ça rejoindre le royaume des morts ?
A peine le blond eut fini sa phrase que le jeune homme étais déjà au loin, avanie, le blond s'empressa d'aller lui barré la route et de s'expliquer avec lui, mais il ne put. Il se rendit compte qu'une ombre le ligotais et l'empêchais de bouger, et la même ombre telle une toile d'araignée l'empêchais lui et son ami de bouger. Seule la fille fut épargner, les deux garçons sentais leurs force les abandonner, leurs respirations diminuer et leurs température corporelle descendre en flèche. Le jeune homme s'écria aux loin : "Ne m'en voulez pas, chers amis. Je ne fait que purger votre arrogance."
Quelque secondes après, les jeunes gens s'évanouirent. Leurs incident fit en sorte que la fille repris ces esprit, car en voyant ces amis se faire piéger aussi facilement la paralysa d'effroi et de stupeur. Agenouiller devant eux, elle les secoua désespérément, mais sans résultat. Le temps repris son cours normal, et avec lui, les deux amis de la jeune fille, en les voyant se réveiller, elle s'écria :
- Hercule, Eole, vous allez bien ?
- Oui...je vais bien. Hercule ?
- Parle pour toi, j'ai un mal de tête horrible...qu'est ce qui c'est passé ?
- Et bien...Nous somme descendue de l'olympe et.. Nous somme arrivé ici et... Et plus rien, le trou noir totale, c'est bizarre.
- En effet, mais ne trainons pas plus longtemps, Gwendolyne, Eole, allons-y.
Les trois jeunes gens partirent dans la même direction que le jeune homme aux cheveux noir. Les gens ne semblait pas remarquer leurs présences, c'est comme si ils étaient invisible. Bien qu'ils étaient au beau milieu d'une ville surpeuplé. Cela dit, après quelque minutes de marches, au tournant d'une ruelle déserte, un chien leurs coupa le passage et aboya a leurs vue. Il était évident que désormais, on pouvait les voire. Après environs dix minutes de marche, les trois amis arrivèrent devant un portail de lycée publique, ils entrèrent et a peine le seuil du portail franchi, que le jeune homme tantôt rencontré, mais dont ils n'avaient plus le souvenir les salua en souriant, une petite brioche dans la bouche. Ils l'ignorèrent et continuèrent leurs chemins. Sauf Gwendolyne qui le regarda bizarrement, intrigué par leurs ressemblances. Le jeune homme lui renvoya un regard triste et indifférent.
- Axel, peux-tu venir te présenter a tes nouveaux camarades de classe ?
- Bien évidemment.
- Le jeune homme a la veste noir a cagoule, décrit un peu plus haut monta sur l'estrade et se mit face a la classe, il introduit sa présentation par ces propos :
- Je m'appelle Axel, comment vous l'avez sans doute remarqué je ne suis pas très vivant, ce que j'aime : pas grand chose, ce que je n'aime pas : beaucoup de chose. Mes hobbies, je n'en ais pas, mon rêve...le connaitre ne vous avancera à rien. Je n’ai pas de préférence particulière, ma couleur préférer es le noir, car...je ne vais pas philosopher. J'ai dix-huit ans comme la plus part d'entre vous et...les gars, vous me haïssez déjà, je ne le sais. Mais si vous ne souhaiter pas vous brûler les ailes, n'approchez point du brasier. Voila, j'ai fini, puis-je rejoindre ma place désormais ??
- Et bien, voila une présentation originale. Oui, tu peux rejoindre ta place...nous avons un autre arrivant, cette fois-ci c'est une fille. Gwendolyne, viens me rejoindre et présente toi s'il te plait.
- D'accord. Mon nom est Gwendolyne, je viens d'arriver de grec, j'ai dix-huit ans, et j'espère bien m'amuser parmi vous. J'aime tout ce qui es beau ou mignon, notamment les peluche, j'aime aussi le chocolat et les pâtisseries. Ce que je n'aime pas, Axel – Cette phrase rendit toute les bouche muette et tout les regards fixe, la personne visé regardait par delà la fenêtre, mais en entendant ceci, il se retourna vers elle. La fixa d'un regard ennuyer et totalement indifférent, même dégouté : "Ah...vraiment ?" et c'est sur ces mot que Axel s'en retourna plonger dans ces pensée. Gêner, la fille continua sa présentation a la vas-vite et s'en alla rejoindre sa place. Le jeune Axel se tourna vers elle et lui dit, tandis que le professeur entamais son cours : "Alors comme ça, tu ne m'aime pas...tu devrais arrêter de juger les gens par leurs apparence sa ne pourra que t'aider".
Au bout de deux heures de cours, durant les quel Axel ne fit que regarder par la fenêtre la cours de l'école, son professeur de philosophie l'interrogea, il lui demanda ce qu'il pensait de la mythologie grecque. Ce qu'il pensait de la relation entre Hadès, et Zeus.
- C'est simple, Zeus es loin d'être un dieu, c'est un fourbe, scélérat et un traitre, la plus perfide des créatures. Il tua son père, Chronos a l'aide de son frère Hadès et Poséidon. Il devint ensuite dieu des cieux, Poséidon dieu des océans et des sources, et Hadès...le plus souvent mépris et hais, alors qu'il a été trahis, il le banni au royaume des enfers et lui interdit l'accès a l'olympe, auquel il a droit. Il devint ensuite dieu de la mort et du royaume des morts. Il lui incuba la triste tâche de tuer les hommes, alors que lui, jouissait de sa toute puissance et de l'amour et des prières des hommes. Et même maintenant, on hait Hadès, qui pourtant, fut contraint à remplir ce funèbre rôle, sinon l'équilibre du monde serait rompu. Il est les ténèbres certes, mais la lumière, c'est à dire Zeus, ne peux subsister sans les ténèbres. La lumière n'est-elle pas l'absence d'obscurité, et l'obscurité n'est-elle point l'absence de lumière ? L'un ne peut exister sans l'autre, l'un es aussi important que l'autre, alors pourquoi ? Pourquoi haïssons-nous les ténèbres ? Elles ne font que remplir leurs rôles...la lourde tâche de tenir l'équilibre du monde. Cela dit, j'ai une réponse, on ne hait pas les ténèbres, on en a peur, alors que nous devrions autant craindre l'une comme l'autre. En m'entendant proférer de tels propos, vous devez certainement vous dire que je suis partisan de je ne sais quel culte immonde, mais je vous rassure. Il n'en est rien, j'ai juste réfléchis a l'encontre de la logique, car la logique, comme le bien et le mal ne sont que des concepts crée par l'homme, ce qui es bien pour certain es mal pour d'autres et vice-versa ça. Pour revenir au sujet initiale, Zeus es un grand égoïste, qui profita de sa toute puissance, et d'un instant de faiblesse d'Hadès afin de l'usurper et de l'exiler, afin qu'il récolte seul les fruits de sa victoire, il ne voulut partager sa gloire et sa position. Ma réponse vous convient-elle ?
- V-vous avez un point de vu très intéressant mais, êtes vous sur de ne pas être aveugler par vos sentiment, et cette mode qui règne désormais en maître chez les jeunes, comme quoi, les ténèbres sont nettement mieux que la lumière ?
- Je n’ai jamais dit cela, je dis seulement qu'il ne faut pas perdre sa lumière de vue, et de la garder prêt de sois, mais de ne pas renoncer non plus aux ténèbres, car ont a besoin des deux...trop de lumière nous aveuglerais, et trop d'obscurité en fera de même.
- Bien, merci pour cette réponse plus que complète. Continuons...
Le discoure éloquent d'Axel fit vibrer le cœur de Gwendolyne et tel des lances solennelle, la transpercèrent de par en par, elle regarda le jeune homme qui s'en étais retourné vers ces habitudes, cela dit, cette fois-ci, ce n'est pas un regard insouciant qu'elle aperçu, mais un regard emplie de tristesse et de mélancolie. Elle se souvint ensuite de ces paroles prononcer plus tôt "Ce que je n'aime pas, Axel" elle se demanda pourquoi elle avait annoncé une tel chose devant une trentaine de personne, sans aucune raison. Et c'est la qu'elle se rendit compte qu'elle a dit cela, uniquement afin d'attirer l'attention, afin de ce faire aimer par son entourage. A peine ces pensées eurent traversé son esprit embrouillé, un petit mot vint rétablir l'ordre. De petites vibration de la voix mourante d'Axel vinrent la chamboulé et la secouer. "Si tu témoigne de l'amour envers autrui, alors il te le rendront." Le jeune homme lui murmura cette phrase a l'oreille et s'en alla tout de suite après. Le professeur l'interrompis et lui demanda ou il comptait aller comme ça, en plein milieu de son cour, le garçon lui répondit simplement "Je m'ennuie, le simple fait d'évoquer Zeus me donne la nozé" ces propos furent accompagner d'une expression de dégoût d'une rare outrance. Suite a cela, le jeune homme sorti de la salle de classe, et s'en alla. Le professeur lui courut après dans les couloirs, et l'intercepta de nouveau, le jeune homme le poussa et continua son chemin, il semblait se diriger vers le bureau du principale. Arrivé a destination, il entra dans le bureau et se retrouva face au proviseur, il le regarda, et tout de suite après, le directeur de l'établissement lui remit une feuille de papier. Elle allait désormais lui permettre d'assister au cours a sa guise, et de les quitter également. Le jeune homme le remercia et s'en alla. Il descendit les escaliers et rejoint la cour du lycée. Elle était en terre, Axel la pénétra et en allant vers un coin de la cours dissimulé, une petite étendue d'herbe verte, et un chêne mais en plus grand apparurent. Le jeune homme se coucha la, sous l'arbre en reposant son dos sur le tronc de l'arbre et s'endormit, jusqu'à la fin de l'après-midi.
Une ombre vint assombrir le pâle visage d'Axel et lui demanda doucement si il dormait toujours, en faisant attention a garder un timbre de voix asse bas pour ne pas réveiller une personne endormie. Le jeune homme ouvrit a peine un œil et lui répondit que non. Un jeune homme blond, se tenais en face de lui, c'était le garçon rencontré au début de la journée. Axel le reconnue et afficha un léger sourire au coin, il enchaina ensuite par lui demander ce qu'il voulait. Le jeune blond commença par se présenter, il disait s'appeler Hercule, comme le fils de Zeus dans la mythologie grecque. Il s'arrêta un moment afin de voir la réaction de son interlocuteur, mais le jeune homme aux cheveux noirs n'eut aucune réaction. Il reprit ensuite, il lui dit que Gwendolyne, son amie d'enfance lui a parlé de son discoure solennelle exprimé plus tôt dans la journée. Il disait être très intéresser par son point de vue, et qu'après y avoir réfléchis murement, le partageais totalement. Axel lui répondit qu'il était bien content qu'il était sincèrement heureux de l'apprendre. Il se leva, et lui dit que pour lui prouver l'honnêteté de ces propos, qu'il l’inviterait à manger. Hercule fut surpris par le changement de comportement du jeune homme et sourit. Axel regarda par dessus son interlocuteur et afficha une expression d'étonnement. Hercule se retourna et vit que pratiquement toute les filles de l'école les regardaient bizarrement, étonnée et un peu charmé de voir ces deux personnes discuter. Il est vrai que ces deux jeunes gens étais le jour et la nuit, tout les opposer. Hercule étais entouré d'amis et été aimé de tous, surtout des filles. Axel par contre n'avait aucun ami et les filles le trouvaient bizarre, bien qu'elles étaient peu attirées et conquise par son coté mystérieux et son allure de zombie et de grosse dure. Concernant les garçons, ils regardaient tous les deux jeunes hommes avec mépris et méfiance, ils semblaient évident que la jalousie les rongeais. Et cette jalousie fini par exploser et apparue devant tous. Un élève de terminale bouscula Hercule et pris Axel par le cou et le mis debout. Ce dernier après avoir encaisser toutes les insultes et provocation vaine de son adversaire, lui frappa la main violemment et ajusta son col, qui était désormais froissée. Son opposant se releva- le coup d'Axel le mit a terre – et fonça en colère sur le jeune homme. Ce dernier l'arrêta d'une facilité et d'une simplicité hors norme. La main dans la poche, l'autre écrasant la tête de son adversaire entre ces doigts, il prononça calmement les mots suivant : Je vais t'éclater la tête ou... En s'arrêtant sur ce mot, il le lâcha et le frappa avec un coup de pied violent en pivotant, ce coup le propulsa plusieurs mètres plus loin. Il fini ensuite sa phrase : « Te fracasser les côtes ? » Trois autres terminales vinrent l'attaquer en l'injuriant, mais ils ne firent pas mieux que leur ami désormais évanouie, les cotes et la boite crânienne fracasser. Il repoussa son premier agresseur en évitant son attaque sur le coté, il lui fit un croche pied suivit d'un coup sur la nuque de la (l'extrême de la paume de la main, du coté du petit doigt, je verrais plus tard), le suivant se prit un coup de pied sur les cheville ce qui lui fit perdre l'équilibre et le fit tomber. A ce moment précis, Axel baissé, pivota et lui donna un violent coup de pied en pleine poitrine, ce qui projeta son adversaire sur son camarade. Ils se retrouvèrent tout deux par terre. A peine avaient-ils touché le sol qu'Axel martela d'un coup de pied l'étroit point qui séparait les deux corps, ce qui souleva un nuage de poussière et une grande fissure sur le sol. Un coup de vent vint dissiper rapidement le nuage de poussière, et a cet instant Axel dit ceci : « Venez pas chercher la merde quant vous ne savez pas défendre vos petites fesse, sinon on risquerait de vous les botter!» tout cela ce déroula vite, les personnes présente parvenait a peine à suivre, et ce n'es qu'au bout de quelque secondes qu'ils se rendirent compte qu’ils venaient d'assister a un combat magistrale. Ce dernier fit en sorte que tout les garçons eut peur de lui, mais ils le haïssaient plus que tout, et que les filles l'apprécient de plus en plus.
Axel se retourna vers Hercule et s'excusa, il lui demanda ensuite où il voulait aller. Le jeune homme hésita un peu et ne su quoi dire, car lui aussi fut impressionnée par la prestation a la quel il venait d'assister. Le garçon aux cheveux noir lui tapota le dos et lui fit signe de le suivre. Tout en disant qu'il allait lui-même choisir l'endroit, mais si cet endroit ne lui plait pas, ils pourraient toujours aller ailleurs. Hercule! On ne rentre pas ensemble ?? Sa serait moche de nous planter, en tout cas moi, je te le ferais payer. Ah, Gwendolyne, Eole, j'allais manger avec Axel, celui dont Gwen m'a parlé et...en effet, il est très intéressant. Je suis la je te le rappelle, bon vous pouvez venir avec nous et...ne faites pas attentions aux personnes par terre, elles vont bien. Il sourit alors que c'est lui responsable de leurs état actuelle... Que dis-tu ? Je ne t'entends pas ? Rien, allons-y. Je n'aime pas recevoir des ordres. C'est une invitation, contrairement a ce que tu pense, Gwen, Eole, ne traînez pas. Présenter sous cet angle...j'accepte. Hercule, tu as beau être mon cousin, je ne te permets pas de me donner des ordres. Ah ouais ? Tu veux régler ça ? Avec plaisir! Eole fonça sur Hercule, et ce derniers en fit de même, ils allèrent s'assener un coup de poing violent lorsque Axel les arrêta au moment où ils allaient porter leurs assaut. Les jambes plié a moitié et écarté, solidement enraciné dans le sol, de ces deux mains, il tenait fermement le poignet de chacun et l'avança un peu, de façon a ce qu'il perde toutes leurs puissances d'attaque et leurs portées. Il leurs demanda de s'arrêta mais les deux jeunes gens lui assenèrent un coup de poing en même temps, de l'autre main. Il les évita en se baissant, la tête en arrière. A peine eut-il le temps de lâcher leurs mains et contre-attaquer qu'un gros bloc de pierre lui tombât sur le visage, ce qui freina son élan et le fit tomber par terre. Gwendolyne, après avoir calmé le premier alla vers les deux autres et les frappa sur le visage, visant le même but. Axel resta un moment sans bouger, d'ailleurs la jeune fille s'accroupit et demanda au jeune homme s’il allait bien. C'est alors que les mains du jeune homme bougèrent, et dégagèrent le bloc. Ce derniers se leva brusquement cria sur la jeune fille en injuriant, en disant qu'elle aurait pu la tuer et que le fait qu'elle ne l'aime pas n'est pas une raison suffisante pour qu'elle lui fasse ce genre de chose. Il se leva tout de suite après et dit : « Alors on y va ou quoi ? La bouffe ne va pas se faire toute seule, faut se bouger...Gwen, si ma présence te gêne, je suis vraiment navré, mais il te faudra me supporter un moment. J'ai promis à Hercule de l'inviter à manger, je me dois de tenir cette promesse. Merci d'avance pour ta compréhension » il avait le dos tourné lorsqu'il prononça ces paroles et entama sa marche tout de suite après. Sa promesse tenu, après avoir mangée, Axel dit au revoir a ces nouveaux amis et leurs donnes rendez-vous pour le lendemain matin. Ils acceptèrent et partirent de leurs coté, en ce qui concerne Axel, il se défragmenter et se transforma petit a petit en une brume noir. Cette brume fila à toute vitesse et s'enfonça profondément dans les entrailles de la terre. Au bout d'un moment, la brume atteint un endroit peut commun, une étendue de terre rocheuse grise, des quelle de gros pique de roches étais collée au plafond, a l'extrémité de cette étendu, une rivière de brume et de fumée blanche. La brume se transforma de nouveau, Axel apparue et laissa échapper un soupire, et s'adressa ainsi a son cœur « Est-ce bien prudent de m'approcher de lui ? C'est le fils de Zeus il n y a aucun doute. Devenir leurs ami...je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée. » A ce moment, le jeune homme avait la tête baissé et le regard fixe et égaré. Une voix vint étouffer la sienne, qui s'adressait a son cœur, cette voix s'écriait au loin, de la rivière de brume : « Mon prince, mon prince, venait donc, sa majesté vous attends » Le jeune homme entama sa marche vers la voix. Une fois arrivé, une petite créature ressemblant a un gnome étais debout sur une barque faite en squelette humain, les deux bords comportais lanterne dans les quels une flamme bleu dansait au rythme du vent froid et glaciale qui résidait dans la lanterne. La créature avais deux bandeau en forme de « x » sur les yeux. La mâchoire inférieure manquait, et sa langue perfide pendait, tout son corps étais en décomposition et une partie des cotes apparaissait. Une posture accroupie, courbé et mal en point, voilà le corps mort mais pourtant mouvant de la créature. Axel embarqua et s'assit a l'autre extrémité, a l'opposée de celle de la créature qui faisait office de chauffeur. Pendant la traversé de la rivière, des centaines de milliers d'âmes embarquer dans des barques semblable a celle d'Axel entourait ce derniers et ce dirigeaient vers la même direction. La créature entama la discutions avec Axel et lui dit :
Prince Axel, comment vont les choses dans le monde des humains ? Bien...bien...et j'ai faillit tuer quatre personne. Ah, heureusement que vous ne l'avez pas fait, sinon votre père aurait été fou de rage. Je sais...je sais...mais quant est-ce qu'il va enfin me faire confiance et me laisser l'assister dans sa tache ? Mon prince, patience, vous aurait toute l'éternité à tuer des millions d'humains, car après tout, vous êtes le fils du dieu de la mort : Hadès! Oui...tu as raison, merci Geôlier. Mais de rien votre majesté, c'est un plaisir que de vous parler, cela m'apporte une énorme satisfaction. Et vous savez bien combien nous vous aimons, nous tous, habitants de l'abysse infinie de l'enfer.
Une terre au loin commençait à ce dessiné. Un gros point noir tout agitée et qui sautais partout se manifesta. Plus la barque approchait, et plus le point se précisait. Arrivé à une certaine distance, on pouvait apercevoir un chien noir, de cinq à sept mètres de longueur et de hauteur, il avait trois tête. Les yeux rouge sans pupille, les crocs acérer comme des rasoir, une légère crinière partante vers l'arrière. Ces oreilles partait vers l'arrière, tout comme la crinière, et l'épousèrent parfaitement, chaque oreille se devisais en deux partie inégale, la deuxième, celle du bas étais légèrement plus petite que l'oreille supérieure. Ce corps étais robuste et imposant, ces pâtes semblable a celle d'un loup, et sa que ressemblait a celle d'un serpent. Tout son corps, ainsi que sa crinière étais d'un noir intense. Arriver a bon port, Axel descendit de la barque, a peine eut-il le temps de maitre les pieds sur le sol, le chien lui sauta dessus et commença à lécher. Le jeune homme ria au éclat et cria au chien d'arrêter, il l'appelait Cerbère. Le chien en remuant la que s'assit sur son derrière, les deux pâtes en avant et les trois bouche ouverte, les langues pendantes, il était claire que le chien étais heureux de revoir son maître. Ce derniers sauta et atterrit en douceur sur la tête du milieu et dit : « Va Cerbère, Père nous attends! »
A dos de son fidèle Cerbère, Axel traversa tout le royaume des enfers en une éclaire. Arriver a la salle du trône, là son père Hadès l'attendais, il entra en humble serviteur, la tête baisser, le regard emplie de joie et de modestie. Il salua son seigneur et s'inclinât devant lui, en face de sa tête baissé, un petit escalier, centré par un tapis noir avec des bordures bleuté. L'escalier enjambait un terrain vaste et infini, au loin se perdait un nuage de fumée argenté au reflet des flammes noires virevoltant tout autour. Une ombre gisait du sol, et interférait entre le reflet des flammes noir sur la brume, cet ombre étais celle du trône de glace noire sur le quel étais assis Hadès en personne. Hadès étais un dieu avant d'être le père de Axel, et sa place étais aussi honorable et aussi important que celle de Zeus lui-même, comme il le lui avait si bien expliqué, étant plus jeune. Et face a cette présence puissante, crainte et hais de tous, le jeune garçon ne pouvait que se sentir misérable, petit, insignifiant, bien qu'étant dieu lui-même. Hadès esquissa un geste, invisible a l'œil nue, à celle de l'humain ou de n'importe quel autre être vivant, même Zeus ne pourrait le voir. Axel s'effondrât, tout ces organes étais broyer, ces os et sa chaire déchiqueté. Le jeune homme se téléporta tout de suite vers un autre lieu : sa chambre. Arriver a destination, il s'en pressa d'aller se baigner dans un lac de lave en fusion, sur les quel prêchait de petites flammes bleu, parcourue de quelque minuscule flux noires. Toute la chambre, qui faisait la taille d'une maison quelconque, étais faite de roches noir. Les mures, le sol et le plafond – Qui étais inexistant, car en haut on ne voyait qu'une faible lumière blanche se dégradant de plus en plus vers le bas. – pratiquement tout étais fait de cette matière noir. Sur la gauche du prince un grand lit rond, le matelas étais recouvert d'un drap noir, aussi noir que ces cheveux. Les quatre oreillers positionnés l'un a coté de l'autre était blanc comme neige. Des draps transparent pendais, et cachait plus ou moins tout le lit. Une tranché situer au milieu étais la seule a être épreniez. Aucun support n'aidez a maintenir les voiles en suspension, si ce n'est un cercle de verre flottant, sur lequel reflétais la très faible lumière du plafond. Ce reflet de lumière éclairait toute la chambre, notamment l'escalier se trouvant juste derrière le lit. Cette escalier montant en zigzag menait vers un morceau de roches noir un peu moins symétrique et uniforme que celui de la chambre, surplombant une mer d'âme damnées, et faisant face a une lumière aveuglante venant du ciel sombre des enfers. Cela dit, de cet endroit on ne voyait que la lumière, posant ces douces larmes sur les âmes de cette mer infinie. L'entrée de sa chambre étais marqué par un escalier duquel pénétrait Hadès, a cet instant précis, ou le dieu de la mort pénétra la pièce, Axel sortit de son bain de lave et sauta dans les bras de son père.
Cette journée fut difficile sans toi, mon fils. Tu m’as énormément manqué, sais-tu pourquoi je t'ais châtié ?? J'ai enfreins l'une de vos loi qui disait : « Ne pas faire le moindre mal au humains, c'est de notre amours pour eux que nous nous nourrissant, et tu n'es pas encore asse mûre pour juger bon de les tuer ou non. » Exact...c'est bon de te retrouver mon fils. Père, pourrai-je vivre dans le monde des humains ? Uniquement pour quelque temps, il faut que- Tu veux tromper le fils de Zeus ? Cela ne t'apportera rien. Mais...père... Repose-toi bien, demain une dure journée t’attend. Les premières lueurs de l'aube montrèrent le bout de leurs nez. Elles étanchèrent leurs draps sur toute la ville. Sauf une maison, qui resta a l'ombre, de cette maison sorti un jeune homme d'environs dix-sept ans, il baillât un bon coup, s'étira un peu devant l'entrée, puis se retourna, cria le nom « Mizou » une autre personne plus âgée sorti de la maison, un petit sandwich dans la bouche, enfilant sa veste tout en fermant la porte. Il suivit l'autre garçon et entama la discussion. Le plus jeune lui dit de finir de manger avant de commencer a parler, et mit aussi tôt des écouteur de couleur blanche dans ces oreille. Le plus âgé le fixa d'un ennuyer, ce que l'autre garçon remarqua tout de suite, il enleva une oreillette et demande ce qui se passe, son interlocuteur lui dit que ce n'es rien en entama la marche. Le plus jeune laissa échapper un soupire et le suivit, toujours en écoutant de la musique. Ce dernier avait une coupe de cheveux des plus étrange, un peu ébouriffer et montante vers le ciel, sa chevelure étais soyeuse et noir, quelque mèche cachait tout son front et une partie supérieure de ces yeux légèrement bridé. Sa nuque également voilé par ces cheveux qui se terminait en pique vers le débout de sa colonne vertébrale. Le reste était comme préciser plus haut, partant en vague vers la gauche, mais en piques légers. Il portait un semblant de veste de smoking, noir et un peu plus longue que la normale, sous laquelle brodait une chemise blanche dont les manches dépassait sous la veste, ouvert bien sure. Tout ceci surplombait un jin bleu nuit, asse sombre parcouru de très léger flux blanc très fins, a peine visible. Il avait également des converses bleus. La taille fine, presque maigre, mais bien portant et loin d'être squelettique. Juste en face son grand frère, les cheveux aussi asse long, mais tombant entièrement sur ces yeux, sans les caché entièrement, et de la même couleur que son frère. Les yeux un peu bridé également, portant une veste bleu mi ouverte, et dont le colle étais levé, mais a peine arrivait-il au niveau de sa mâchoire, les manches long également, recouvrant a moitié ces main. Deux bondes blanches parcouraient les manches de ces deux bras et ces épaules. Sous sa veste se trouvait un t-shirt avec un crâne de mort, derrière lequel tanguait des ronces en forme sphérique. Un pantalon bugi, et des chaussures ordinaires, comme chez tout adolescent, contrairement à son petit frère, il était plus robuste et mieux portant. Après 5 minutes de marche, ils arrivèrent à un arrêt de bus, a peine arrivé, qu'un bus vint, ils l'empruntèrent. Dans le bus, assis l'un loin de l'autre, on avait du mal a croire qu'ils étaient frère. Mizou, dès son arriver alla parler a une fille et obtint son numéro de téléphone, en ce qui concerne son petit frère, plus d'une fille lui avait fait des avances, mais il les ignora toutes. Descendu du bus, ils empruntèrent le même chemin emprunter par Axel la veille, ils arrivèrent devant un portail d'école au bout d'un quart d'heure de marche, ils marchèrent lentement. Lorsqu'ils pénétrèrent la cour du lycée, un grabuge vint perturber le calme dans lequel ils étaient plongés, surtout le petit frère qui écoutais de la musique et qui semblait en osmose avec celle-ci. Un terminale du club de karaté c'est retrouvé projeter sur le jeune garçon qui écoutais de la musique, celui ci c'est mis en colère, et fonça dans le ta. Axel étais entouré d'environs quinze terminale, tous du club de karaté de l'école, parmi eu leurs capitaine. Ils voulaient laver l'honneur de leurs compagnons humiliés la veille. Axel étais en plein dans le combat lors ce qu'il c'est pris un coup de poing de la part du jeune homme qui écoutais de la musique tantôt. En colère, il frappa ces derniers avec un coup de pied, mais il l'évita en se baissant, mais c'est un terminal qu'il toucha. Le jeune homme fonça alors sur Axel, et c'est un combat d'une rare violence qui éclat entre les deux jeune gens. Mais les terminales encore plus humilié par l'indifférence des deux garçon, foncèrent eux aussi a corps perdu dans la bataille. Un terminale vint frapper Axel d'un coup de poing, mais il l'évita sur le coté, le jeune homme attaqua l'assaillant d'Axel et le mit a terre, ensuite, il voulut s'en prendre a ce derniers mais le prince mis sa main sur l'épaule du jeune homme et pris pour appuie celle-ci et passa avec un léger saut par dessus le corps du jeune homme et frappa un terminal derrière ce derniers de ces deux pied, l'un après l'autre, avec un mouvement de roulade. A peine eut-il toucher le sol que le jeune homme l'attaque avec le coude, mais Axel para son attaque, mais avant que celui-ci ne contre-attaque, le jeune garçon au cheveux ébouriffé le poussa pour mettre a terre un autre terminale venu tenter sa chance avec un violent coup de genou en plein dans le ventre. Axel fit un mouvement rotatif et se faufila derrière le jeune homme et assomma un autre adversaire d'un coup de pied sur la mâchoire. Ensuite, ayant asse de la situation actuel, trouvant ça trop long, il fonça sur les cinq terminal rester en retrait juste en face de lui, laissant le jeune homme tout seule. Le jeune homme voulant rattraper Axel se prend deux violent cou de coude sur la nuque, ce qui le mit a terre. Voyant cela le prince se mit en colère et enchaina les coups. Il frappa d'un violent coup de poing un adversaire, ensuite, avant même que son adversaire ne tombe a terre, il assomma deux autres terminales d'un seule coup de pied porter au niveau du visage. Et de la même rapidité et efficacité, il fonça sur les deux autres en enfonçant leurs crânes dans le sol. Une asse grande fissure dans le sol se forma, suite au terrible choque. Il se leva, et regarda les deux terminales qui avait attaqué en traître le jeune homme, son regard étais emplie de haine et de colère, une envie irrésistible et incontrôlable de tuer. Mais il se calma très vite lors ce que le frère du jeune homme intervint et frappa violemment les agresseurs de son petit frère. Deux autres vinrent frapper Mizou mais ce derniers évita le coup du premier et frappa le second avant de se tourner vers son assaillant. Mais tout d'un coup, il se prit un coup de katana en pleine figure, heureusement que le katana étais toujours dans son fourreau, mais malgré cela, le poids et la puissant de l'arme balaya les deux jeunes gens d'un coup. Axel qui venait à peine d'être apaiser par l'intervention de Mizou vit sa colère monter d'un cran. Il fonça sur le capitaine du club de karaté muni d'un katana, se derniers s'empressa de dégainer son épée afin de faire face a Axel, mais ce derniers étais trop rapide, et le frappa avec une rare violence en plein ventre avec son coude, légèrement baisser et les pieds solidement enraciné dans le sol. Le capitaine c'est retrouver projeter plusieurs mètres plus loin, a peine voulait-il toucher son katana a coté de lui que sa main se retrouva écrasé par le pied de Axel, ce dernier avait les cheveux tombant sur ces yeux, on n'apercevait rien, mais sa bouche affichait une tel haine, une tel rage, que toute l'école et même les surveillant arriver trop tard pour arrêter le combat étais tétaniser de peur. Ces dents grinçaient, mais ils s'ouvrirent et prononça : « Félon...traître...tu mérite la mort! Cerbère ce régalera de ta chaire déchiqueté et fané par les longs siècles de torture que tu subiras au fin fonds des abysses infinie de l'enfer!! » Il lâcha ensuite sa main et pour le martela d'un coup de pied, mais son adversaire évita le coup de justesse et profita du nuage de poussière née de l'attaque d'Axel, ce derniers baigner dans le nuage cria a son adversaire de se montrer. Essayant de duper son adversaire, le capitaine tombe nez a nez avec Gwendolyne, il se souvint alors qu'elle étais avec le prince la veille. Voyant son katana a la main, elle lui demande de lâcher son arme, sinon il pourrait blesser quelqu'un, et c'est là qu'il fit son erreur fatale. Il frappa Gwendolyne avec le revers de la lame, a peine eut-il toucher la fille qu'il se retrouva pris en sandwich, percuté par Hercule et Axel, ils l'avaient frapper de par et d'autre avec leurs pieds, ces coups l'avait complètement défiguré. Avant que ce corps rigide ne tombe par terre, les deux jeunes hommes le frappèrent d'un violent coup de poing en plein cœur, qui le projeta un peu plus loin, il se déplacèrent très rapidement et se retrouvèrent derrière lui, et lui assénèrent un coup de genou en même temps dans le dos, ce qui arrêta sa lancé. Ensuite Axel le bloqua en plein aire en mettant une pression avec son genou. Hercule sauta et martela le capitaine en le percutant d'un coup de ciseaux. Une nouvelle fois le capitaine se retrouva pris en sandwich par Axel et Hercule, ils le laissèrent tomber par terre. Hercule alla voir si Gwendolyne n'avait rien de casser, mais Axel n'en avait pas encore fini avec le capitaine, et pris son katana, a ce moment, un surveillant repris ces esprit et cria au jeune homme de lâcher l'arme. Mais aveugler par sa haine Axel effleura le visage du capitaine avec le katana, ce qui laissa une cicatrice sur le visage de ce dernier. Les surveillant s'empressèrent d'aller vers Axel et l'immobilisèrent. Un surveillant alla voir Hercule, et lui demanda d'emmener Mizou et son petit frère a l'infirmerie, avec Eole. Les autres surveillant cirière sur Axel et l'emmenèrent voir le directeur de l'établissement. Le calme et la tranquillité reprirent place au sein de l'école, mais les élèves continuèrent de murmurer, de parler et discuter de l'incident du matin même. Un combat sensationnel, une intervention honorable d’Hercule, la star du lycée pour les uns. Une injustice pour d'autre, de condamné Axel pour avoir défendue une première année, et une fille qu'il ne connaissait même pas, et surtout laver l'honneur des deux frères. A l'intérieure du bureau du principale, le directeur demanda a Axel de s'expliquer, ce derniers lui répondit : Monsieur le proviseur, je souhaite vous exprimer mes plus profondes et sincère excuse pour ce que j'ai fait. Cela dit, je ne suis en aucun cas responsable de ce qui c'est passée. Il y a des témoins qui pourront affirmer que ces élèves faisant partie du club de karaté, et donc, ayant une plus grande force corporelle et technique que la mienne. Ils m'ont attaquer sans aucune sommation ni raison, il es tout a fait normale que je veuille me défendre, c'est de l'auto défense simple et pure. Et en plus, des lois qu'ils avaient transgressé, ces élèves, étant mes ainée, doivent en temps normal, me conseiller, me protéger, si je puis dire, comme je lé fait avec cet élève de première année, qui a subit de lourd dégâts a cause de leurs délinquance et leurs arrogance. Cela, je dois avouer que je me suis laisser aller, et que j'ai dépassé les bornes, et pour cela, je suis prêt et en assumer les conséquences et a être châtier. Mais ce que je veux absolument éviter, et ce qui, a mon avis sera vraiment dommage, c'est que je sois puni pour des infractions que je n'aurais point commis. Et par infraction, j'entends bien sure, ma bagarre avec les terminales du cul de karaté. Je tien également a relever un point, qui a mon humble avis devrait être châtié plus sévèrement que mon infraction, et celle des terminales. C'est le fait que les surveillant n'est pas intervenu que l'or ce qu'il était trop tard, et les dommages déjà causée. J'avoue qu'on ne peut être partout en même temps, mais ca c'est passée en plein cour principale, ce qui doit être un havre de paix et de tranquillité pour les élèves épuiser après une longue journée d'études. Voici mes explication, monsieur le proviseur et j'espère m'être bien fait comprendre. Ce que vous dites la es sensé, et je comprends parfaitement. Cela dit, je dois faire de vous un exemple, et le capitaine du club de karaté a déjà contribuer beaucoup a notre réputation. Et plus es, son père es quelqu'un de très influent, et lui aussi contribue énormément a notre établissement. Je vois, alors qu'il en soit ainsi, cela dit j'aimerais vous proposer un marché. Il y a le festival annuaire dans un moi et demi, et j'ai eu vent du concert qu'il y aura lieu. Je vous propose donc des excuses de la part des terminales et...en contre partie je donne, avec mon groupe de musique un concert si fantastique qu'il attirera toute la ville au sein de notre école. Si je ne remplie pas ces conditions, c'est moi qui m'excuserais à genou devant les terminales. Pertinent...cela dit, je me vois dans l'obligation de rejeter cette offre. J'ai n'est pas l'habitude de marchander avec mes élèves. Certes, voilà qui es honorable de votre part, mais...ce n'est la ni plus ni moins qu'une promesse, et non un marchandage. Cet action aura pour but d'enraciner les vertus et les principes fondamentaux dans nos cœurs, nous qui avons enfreins les règle. Nous sommes seuls perdant et vous êtes seul gagnant, imaginez la réputation que gagnera votre école en proposant un spectacle si énorme qu'il attirera la foule d'une population toute entière. Mhhh, vu comme ça... Non monsieur le proviseur, vous devez refuser! Et pourquoi donc, vous ne souhaitez pas le meilleur pour notre chère et belle école. Avec notre spectacle, les journalistes et les médias accorerons vers notre établissement. Vous dites vrai Axel. Je vous donne votre chance, mais vous serez tout de même collé après les cours, ainsi que ces deux jeunes gens qui sont à l'infirmerie. Bien, merci monsieur, vous ne le regretterez pas. Axel sortit du bureau du directeur et emprunta l'escalier juste en face de lui, afin de rejoindre l'infirmerie. Une fois sur place il frappa a la porte avant d'entrée, sans attendre qu'on lui donne de réponse. Et dès son entrée dans la salle, le petit frère de Mizou et Hercule lui cirière dessus. Hercule le réprimandait, du fait que, si il n’avait pas provoqué ces terminales, leurs capitaine n'aurais pas sorti ce katana, et donc, n'aurais pas frappé Gwendolyne. En ce qui concerne le frère de Mizou, il lui reprochait de lui avoir lancé cet élève en pleine figure, et donc de l'avoir mêlé à toute cette bagarre. Axel les ignora tout les deux et alla calmement au chevet du lit de Gwendolyne et lui présentât humblement ces excuses, les plus sincères et les profondes, et lui demande si elle n’avait pas trop mal, toujours en restant serin et souriant parfois. Elle bouda un moment et fit des grimace au jeune homme, celui-ci riait doucement a chacune de celle ci, et lui demanda pardon a chaque fois. Il lui expliqua au bout d'un petit moment qu'il ne pouvait rien faire de plus, que lui jeter une petite pierre sur la main, afin que sa trajectoire dévie et qu'il ne la touche qu'avec le revers de la lame. La jeune fille qui avait la tête tournée vers la fenêtre, changea d'expression un court instant, et ce rendit compte qu'elle n'avait aucune raison de lui en vouloir, cela dit, elle continua à bouder tout de même. Le jeune prince, ce tourna ensuite vers Mizou et son frère, il demanda d'abord au grand frère si il allait bien. Celui-ci lui répondit que oui, et le remercia, mais son frère s'écria que non, et lui dit de ne pas le remercier, car après tout, c'est a cause de lui si ils sont dans un tel état. Axel se tourna vers ce dernier et lui demanda avec un sourire s’il allait bien. Il lui répondit mal et en grognant que non, et qu'il attendait des excuses de sa part. Axel souleva doucement sa main, toujours en souriant. Il la mit sur le col du jeune garçon, a cet instant, il changea subitement d'expression et serra sa main très fort, tout en collant le corps du jeune garçon sur le mur et lui cria dessus : « Petit merdeux, t'avais qu'a pas te mettre sur ma route. Et personne ne t'a dit de venir trainer entre mes pattes, retourne joué dans ton bac à sable! Quand on peut pas s'occuper de ces niches, on reste a la maison! » Quoi ? Mais t'es taré ! Hein? Moi un taré ? Tu ne tiens pas a ta vie hein ? T'a pas trouvé un moyen moins douloureux de crever ? Trou Du'c !! je vais te latter ! Tu veux qu'on règle ça ? Sans problème ramène-toi couillon! Les deux jeunes gens continuèrent de se crier dessus tandis que Mizou et Hercule les parodiaient, Gwendolyne riait à cœur joie des deux garçons. Au bout d'un petit moment, les deux jeunes gens s'arrêtèrent d'un coup sec et se tournèrent vers les trois autres et crièrent en même temps : Qu'est ce qui vous fait rire??!! Vous êtes trop drôle vous deux hihihi. Ou es passé ta gentillesse Axel ? Je ne suis gentille qu'avec ceux qui le méritent! Ah, alors Gwendolyne vaut mieux qu’Azade, alors qu'elle rit ?? Azad ? C'est qui celui la ? C'est moi bâtard, et t'a pas intérêt à l'oublier. C'est bien dommage car j'oublie souvent les choses insignifiantes. Sa veut dire que je suis insignifiant c'est ça ? C'est ce que tu sous-entends! Je ne le sous-entends pas, je le dis clairement gamin! Gamin ?! Gamin!! quant le gamin t'aura éclaté les- Stop! Tu va trop loin, aller p'tit frère, on rentre au bercail. Lâche-moi, je vais le tuer! Mais oui c'est ça, Axel a demain peut-être, et bonne journée. Moué...ah oui au fait, vous êtes collé après les cours avec moi. Ah...d'accord, et Hercule ? Je n'en sais fichtrement rien. C'est quoi cette expression bizarre ? Enfin, on se verra après les cours alors.
Hercule s’adressa a Hadès et lui dit, qu’en parlant sérieusement, il est vrai qu’il a mis la vie de Gwendolyne en danger. Il devait donc réparer ça. Axel lui répondit que c’étais déjà fait, car il avait mis K.O le capitaine avec lui, mais cela dit, il veut bien réparer son « erreur » qui n’en étais pas une. Hercule le regarda alors avec un air très sérieux et concentré, il le fixa bizarrement puis finalement afficha un grand sourire et lui dit qu’il lui fallait les inviter à manger encore une fois. Axel qui s’attendait au pire lâcha un soupire et afficha un aire distrait et lui dit qu’il en était hors de question, mais qu’en revanche, il les invitait, lui et Eole ainsi que la blessé de venir manger chez lui le lendemain. Il accepta mais la jeune fille s’interposa, elle disait qu’il était hors de question pour elle d’aller chez lui, Axel se pencha sur le coté et lui répondit simplement qu’il en avait rien à faire qu’elle vienne ou pas, qu’elle était seul maitre de son sors. Hercule pris sa défense et demanda a Axel d’être plus délicat, ce derniers lui dit alors qu’ils se verront le lendemain a l’école tout en sortant de l’infirmerie en les saluant avec la main. Le soleil couchant transperçait de ces rayons les fenêtres de tout l’établissement, de son atmosphère orange rougeoyante elle créa une étendu d’ombre a tout objet et tout êtres vivant. Dans une salle de classe vide, les tables et les chaises étais en désordre, et rien n’étais a sa place, la poussière demeurait depuis déjà bien longtemps en cette salle déserte. Un ombre d’homme s’étendais sur tout le sol de la classe jusqu'à la porte d’entrée où elle montait. La porte s’ouvrit, et l’ombre cacha le visage de la personne entrante. Azad se tourna afin de voir qui étais entrée, il ne reconnue pas tout de la personne, alors il regarda son frère qui étais assis sur le rebord d’une fenêtre et contemplait la cour orange grouillant de mondes, de filles et de garçons quittant l’école afin de rejoindre leurs doux chez eux. Mizou ne fit pas attention a son frère, laissant son regard et ces pensées s’égarer encore un moment dans le vaste horizon qui s’étendait devant lui. Le nouvel arrivant avança de quelque pas et se détacha de l’ombre de Mizou. C’est alors qu’Azad entraperçu le visage d’Axel. Il bal buât son nom en le pointant du doigt, pour enfin crier son nom d’une grande stupeur et colère. Axel lui dit calmement qu’il était vraiment bête, il l’avait pourtant prévenu qu’il serait collé tout les trois. Ce derniers s’énerva et se mit à crier après Axel en l’injuriant et en se moquant de lui. Cela dit tandis qu’Azad criait Axel n’en fit rien et alla directement voir Mizou sans tenir compte d’Azad. Ce derniers s’énerva encore plus et vint a coté du jeune homme, et lui cria a l’oreille. Le bruit strident fit vibrer tout le corps d’Axel, il se tourna vers lui et dit qu’il n’était pas sourds...et c’étais reparti dans une autre bagarre. Mizou laissa échapper un soupire puis remercia Axel. En le remerciant, les deux jeunes gens se sont arrêter et se retournèrent tout les deux vers Mizou et lui demandèrent pourquoi il remerciait Axel. Il répondit banalement, cela dit, son remerciement les arrêta définitivement. Cependant Axel s’adressa à Azad en lui demandant s’il voulait se venger des terminales. Il lui répondit affirmativement, c’est alors qu’Axel exposa son marché avec le directeur aux deux frères. Ils ne comprirent pas en quoi sa les regardait, Axel leurs rappela alors qu’il avait un groupe de musique. - Quoi ? Notre groupe ? - Et bien oui, il suffit que j’intègre votre groupe pour participer au festival, et lors de ce dernier, on fera un show d’enfer ! et on obtiendra les excuses à genou de ces enfoirées. - Admettant que tu fasses partie du groupe, que tu joue sur scène avec nous, il est impossible de réunir toute la ville comme tu l’as promis, c’est irréalisable. - Moi je dis que c’est faisable, faites moi confiance. - Tu sais peut-être envoyer des coups de pieds et des vannes à mon petit frère, mais sais-tu au moins jouer d’un instrument ?? - Il n’est jamais trop tard pour bien faire non ? - Je le crois pas...Azad, c’est le moment de lancer une vanne tu ne trouve pas ? - Lâche moi...ne me tente pas... - Okay...bon Axel, je t’aime bien, mais tu ne sais pas jouer d’un instrument et notre groupe est complet. - Non s’il te plait... - Bon, on peut toujours essayer. - Hors de question, c’est moi le chef, et il est hors de question qu’il intègre le groupe. - Le chef a parlé, désolé Axel. - Azad, qu’est ce que je dois faire pour te convaincre ? je t’assure que sa va marcher, fais-moi confiance ! - Me convaincre ? ne plus jamais m’adresser la parole m’arrangerais beaucoup. - Je vois...bon, je m’en vais alors, j’étais venu ici juste pour vous parler de ça, mais apparemment c’est fichu. Axel sortit aussi tôt de la classe, et tandis qu’il descendait les marches le menant a l’étage supérieur, Mizou dit avec joie et calme ces quelques paroles à son petit frère : - Tu ne l’a pas vu parce que tu étais évanouie mais...quant les deux gars t’on assommé, j’ai lu dans son visage une telle rage, une telle haine. Il était vraiment en colère quant ils t’on attaqué, et j’ai aussi descellé de la culpabilité dans son regards. Si j’avais intervenu pour t’aider, c’étais parce que je savais qu’il allait les tuer. Il allait vraiment les tuer. C’est bizarre non ? il s’était pris d’affection pour toi aussi rapidement, même en sortant d’ici, un sourire s’affichait sur son visage. - J-je m’en fou, tu a bien vu comment il m’a parlé tout a l’heure ? et c’est a cause de lui si on es ici ! - Tu ne pense pas ce que tu dis, moi je pense qu’on devrait le prendre avec nous...et puis, sa serait sympa, plus de gens viendrons nous voire, les filles sont folle de lui depuis peu.sa nous fera de la pub. - Pourquoi tu souris ? Et bien... Axel étais désormais sur le toit de l’école, il regardait le soleil se coucher, disparaître de l’autre coté de la terre, afin d’éclairer d’autre peuples, d’autres horizons. C’est alors qu’il se mit à penser à Gwendolyne, bizarrement, malgré son détachement et son indifférence envers les femmes, et même si il semblait que ces sentiments sois réciproque en ce qui concerne la fille en question. Il ne pouvait s’empêcher de penser a elle et de se sentir rattaché a cette personne. Un souvenir vint percuter les pensées du jeune homme, il se souvint qu’elle n’était pas humaine. Il est vrai qu’elle était en compagnie du fils de Zeus, Hercule. C’était surement une déesse elle aussi. Mais alors cela lui sera encore plus difficile de l’approcher, car il était le fils d’Hadès. Un peu plus bas, a l’étage inférieur, Mizou tentait de convaincre tant bien que mal son petit frère à laisser Axel intégrer leur groupe. Il lui disait qu’il était déjà en retard sur une chanson, et que même, il pourrait lui laisser la chanson sur la quel il est en retard, et si il l’apprend par cœur, et que si sa performance est bien faite, alors il le laissera jouer la chanson. Azade après avoir réfléchis un court moment, il approuva et demanda a son grand frère d’appliquer son idée. A cet instant précis Axel apparu la tête en bas de l’autre coté de la fenêtre. Azad poussa un cri de frayeur, Mizou laissa échapper un soupire tandis qu’Axel affichais un grand sourire et remerciait le jeune homme, en lui demandant si il devait l’appeler chef ou capitaine ou boss. Azad reprit son habitude et cria sur le jeune homme en lui disant qu’il était malade, et qu’il pourrait tomber, d’ailleurs, si il ne descendait pas tout de suite, il provoquerait l’accident. Axel lui répondit qu’il aimerait bien planer, mais que c’est Azad qui va planer s’il ne la ferme pas. Et c’étais reparti pour un tour. Alors que les deux jeunes gens se disputaient, le grand frère lança une petite question toute simple : « En fait...tu va jouer de quel instrument ?? » - La question mérite en effet d’être posée. - Quoi ?! t’a même pas idée de quel instrument tu va jouer ? oh non chui tombée sur un gros boulet...bon, étant donnée qu’il est hors de question que je laisse ma place...il reste la batterie, le vocale et le basiste. Bon, le batteur hors de question qu’il parte, il est plus grand que nous et il sacrifie une grande partie de son temps pour nous...et la vocale es trop mignonne pour qu’on la largue, même pour une chanson. La décision est prise, Mizou tu dégage ! - Quoi mais attends ! - C’est toi qui a insister pour qu’il vienne alors assume ! - Ah, alors je vais jouer de la basse ? c’est cool, où elle est ? - Quoi tu crois qu’on va te la donner ? tu te fou le doigt dans le nez jusqu’aux coude ! - Je vais te le foutre ailleurs et jusqu'à l’épaule si tu continue ! - Ah ouais ! tu ne disais pas vouloir planer toute a l’heure ? je t’arrange ça ! - Du calme vous deux, bon Axel, demain je t’apporte la tablature, tu devras apprendre la chanson par cœur pour le festival. Ensuite pour l’instrument, tu va devoir te débrouiller. - OK ! bon bah je vous laisse, j’ai un dîner à préparer. Axel sortit de la salle, arrivé dans le couloir désert faisant office de hall. Le temps se figea, et le jeune homme se transforma en un nuage de fumée noir, cette dernière s’enracina dans les profondeurs de la terre, elle arriva ensuite dans le même endroit de la veille, juste en face de l’océan de brume. Le serviteur l’attendait a bord de sa barque et l’emmena vers l’autre rive. Toujours le même rituel, il chevaucha Cerbère et s’en alla comme un éclair. Mais cette fois-ci, ce n’est pas vers la salle du trône qu’il se dérageait, mais vers un temple en ruine, oubliée de tous. Ce temple étais maudit, même les créatures les plus féroces et les plus puissantes des enfers n’osait pénétrer ce sanctuaire damné. Arrivée a l’entrée, Cerbère hésita et n’osa pas s’approcher d’avantage. Axel descendu de sa monture et s’arrêta devant l’entrée. Un petit escalier descendant se dressa devant lui, un tunnel graver dans la roche suivait cet escalier. Le couloire étroit, les roches perçantes et dangereuses, il fallait faire preuve d’une grande prudence afin de le traverser sans ce blessé. Au bout du tunnel la sortie s’élargissait d’un coup, elle se multipliait par mille. Sur les deux cotés, des roches blanches s’étendait a perte de vue, et se rejoignent toutes au même endroit. Un grand temple en forme de tour fait de roches et de planches de bois cassées et pourri. Un chemin d’écailles entre coupée a chaque écaille par un liquide rouge. Axel s’avança assurément sur le chemin qui s’étendait devant lui, arrivé au niveau de la porte d’entrée du temple il s’écria : « Médusa !!!Je suis venu te rendre visite, montre toi s’il te plait ! » Un bruit strident ce fit entendre, comme le sifflement d’un serpent, une ombre rampait a droite et a gauches, dans toutes les directions en même temps, au alentour d’Axel. De temps à autre on apercevait la fin d’une que de serpent, soudain, une créature ayant un corps mi-femme mi-serpent surgit juste en face du visage du jeune homme. Il ferma les yeux, et afficha un sourire et dit avec une joie peut exprimer et divulgué jusqu’alors. Il lui dit qu’il est vraiment heureux de la revoir. Celle-ci le traite de menteur, son crâne était orné de serpent, faisant office de chevelure. La partie humaine étais horriblement belle et attirante, une peau parfaite, pure, douce et magnanime...tout bonnement magnifique. Des formes généreuse, un cou qui donnant envie de le croquer a plein dent, un visage tout bonnement magnifique et parfait, verdâtre cela dit, des yeux de reptile, et des oreilles d’elfe. Seules ces quelques détailles minime, à peine perceptible, en additionnant ces cheveux vinrent troubler sa beauté mirifique. Concernant la partie serpente, elle était pourrie, quelques parties de sa que révélait des traces de morsures de décomposition, des bouts d’os montraient le bout de leurs nez ici et la. Sa vue étais tout simplement écœurante, horrible et funeste. Médusa demanda à son visiteur s’il n’avait pas peur qu’elle le pétrifie de son regard, et devenir une statue engourdie. Il lui répondit toujours en souriant : « Qu’est ce que tu raconte, je t’aime, ceux qui te voue un amour profond et sincère ne peuvent être sous l’emprise de ton pouvoir. Je ne dis pas que je suis amoureux mais quand même, je t’aime vraiment. » La créature laissa échapper un sourire et embrassa le jeune homme sur le front. Elle lui demande ensuite pourquoi il est venu la voir, après trois jours d’absence. Il lui répondit que la réponse étais évidente, elle lui manquait et il c’étais rendu compte, que se faire passer pour un humain l’avais désorienté et lui avait fait perdre ces vielles habitudes. Médusa le traita de menteur, il répliqua que non, et lui courrait après en l’implorant de lui pardonner. Car oui, en disant cela, elle c’était mise en marche vers son temple. Elle entra dans son temple en claquant la porte derrière elle, cette dernière lui cria de rentrer chez lui et de ne plus revenir. Axel laissa échapper un léger soupire puis s’assit devant la porte, s’adossa sur cette dernière et afficha un sourire et dit a voix basse : « Tu boude hein ? Tu as raison, je t’ai laissé tomber, je suis un monstre...pardonne moi, j’attendrais ici jusqu'à ce que tu me pardonne. »
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